Steal This Film est une série de films documentant le mouvement contre la propriété intellectuelle. La première partie, produite en Suède et sortie en 2006, tient compte d'acteurs de la culture suédoise du piratage tels The Pirate Bay, Parti pirate suédois et Piratbyrån.
"O.J. - Made in America" retrace l'histoire de la race au cours des dernières décennies à travers la lentille de la montée et la chute de OJ Simpson. Il est peut-être la définition histoire culturelle de l'Amérique du 20e siècle, qui se concentre autour de deux des plus grands de notre pays fixations: race et célébrité. « JO: Made in America » explorera ces thèmes en traçant un parcours personnel, de la façon dont Orenthal James Simpson premier est devenu une star de football, la raison pour laquelle le pays est tombé en amour avec lui en dehors du terrain, à son être accusé du meurtre de son ex femme et son acquittement subséquent et pourquoi il est maintenant assis en prison 20 ans plus tard pour un autre crime.
Ce documentaire raconte ce qui s'est passé à Rio de Janeiro le 12 juin 2000, lorsque le bus 174 a été pris d'assaut par un jeune homme armé qui menaçait de tirer sur tous les passagers. Transmis en direct sur toutes les chaînes de télévision brésiliennes, cet événement choquant et tragique est devenu l'un des portraits les plus choquants de la violence et l'un des exemples les plus effrayants de l'incompétence et des abus de la police de ces dernières années.
Portrait en 3 parties composé de témoignages et d'un long entretien du poète antillais Aimé Césaire qui évoque ses rencontres littéraires et son engagement politique. Des extraits de poèmes et de pièces de théâtre et des documents d'archives illustrent ce film. "L'Ile Merveilleuse" est centrée sur la Martinique. Après une évocation de ses premiers poèmes, Césaire parle de son retour en Martinique comme professeur, puis de son engagement politique au sein du Parti Communiste. "Au Rendez-vous de la conquête" est consacrée à Paris, des années 30 à 50, avec la rencontre de Léopold Sedar Senghor et de Léon Gontran Damas. "La Force de regarder demain" aborde les problèmes du monde contemporain, et en premier lieu celui de l'Afrique, depuis le festival des arts nègres de Dakar (1965) jusqu'à l'hommage rendu à Césaire à Miami en 1987.
En 1956, les États-Unis mettent au point une nouvelle arme inattendue contre l’Union soviétique : le jazz. Pour triompher dans la compétition tous azimuts instaurée par Eisenhower, il s’agit de conquérir les esprits par la musique. En envoyant Louis Armstrong, Duke Ellington, Dizzy Gillespie ou Dave Brubeck – les "Jazz ambassadors" – se produire à l’étranger avec leurs groupes, où se mêlent musiciens blancs et noirs, le gouvernement américain entend redorer le blason du pays, face aux critiques soviétiques visant notamment la ségrégation raciale. Pourquoi des artistes noirs, toujours victimes de discrimination dans leur pays, acceptent-ils de véhiculer l’image mensongère d’une Amérique pionnière de la liberté, de l’égalité et de la tolérance ? Alors que le Mouvement des droits civiques prend de l’ampleur, les musiciens, tenus de prendre position, vont retourner cette mission en leur faveur, afin de donner une résonance à la lutte contre la ségrégation.