Après la mort de Shogo Ogami à Hiroshima, le détective Shuichi Hioka a mis en œuvre avec succès le plan de Shogo Ogami, qui consistait à contrôler les yakuza pour empêcher de nouvelles guerres de gangs et éviter que des innocents ne soient blessés. Shuichi Hioka gère les organisations criminelles, mais, à cause d'une personne maléfique qui est libérée de prison, la situation change radicalement.
Jack Moore, avocat et négociateur d'un important groupe multimédia, est de passage en Chine à Pékin pour signer le premier contrat de télévision par satellite sino-américain. Enivré par la bonne tournure que prend la négociation, il rentre à son hôtel en compagnie d'une belle inconnue. Réveillé au beau milieu de la nuit par la police chinoise venue forcer sa porte, il découvre alors le corps ensanglanté de sa maitresse d'un soir. Comme il ne parle pas la même langue que les policiers, Jack a du mal à leur faire entendre qu'il n'a pas tué la jeune femme.
Daniel Miller meurt dans un accident de voiture et se retrouve à Judgment City, la cité du Jugement Dernier ville d’attente pour le préparer à la vie éternelle. En quatre jours, il doit à l’aide d’un avocat commis d’office, démontrer à un juge qu’il a été courageux et généreux lors de sa vie afin de pouvoir monter là-haut. Au cours des jours qu’il passe là-bas, il rencontre Julia en ville, une jeune femme mère de deux enfants, et en tombe amoureux…
Douze hommes doivent décider du sort de l'un d'entre eux lorsqu'un juré s'oppose à la décision du jury.
Un homme solitaire recherche justice et rédemption lorsque trois adolescents tuent son chien sans raison
Steal This Film est une série de films documentant le mouvement contre la propriété intellectuelle. La première partie, produite en Suède et sortie en 2006, tient compte d'acteurs de la culture suédoise du piratage tels The Pirate Bay, Parti pirate suédois et Piratbyrån.
Ce documentaire revient sur les événements de la dictature de Pinochet, couverts par un groupe de photojournalistes qui découvrent peu à peu la fascination malsaine des médias pour la violence. Dans la rue, au rythme des mouvements sociaux, ces photographes se sont regroupés, créant un véritable langage politique. C’est au rythme des manifestations que ces photographes se sont pour la plupart formés. Pour eux, photographier était une pratique de la liberté, un moyen de pouvoir continuer à vivre. Leurs clichés servant de preuves aux témoignages des victimes de la dictature. Elles ont été fondamentales pour permettre l’ouverture des procès en justice. Certains de ces photographes ont été brutalement réprimés, d’autres assassinés, mais la plupart ont survécu.