Farinelli est un être tourmenté à la beauté androgyne. Castré en bas age par son frère le compositeur Ricardo Broschi, il devient un chanteur extraordinaire, admiré pour la clarté de son timbre, l’agilité de ses ornements et la maîtrise de son souffle. Adulé aussi bien par le public que par des personnalités politiques, intellectuelles et artistiques . Il devient une légende de son temps. Mais les rivalités et les jalousies se font jour. Quant un jour Farinelli tombe amoureux d'Alexandra, la vérité doit éclater.
À Vienne, en novembre 1823. Au cœur de la nuit, un vieil homme égaré clame cette étonnante confession : "Pardonne, Mozart, pardonne à ton assassin !" Ce fantôme, c'est Antonio Salieri, jadis musicien réputé et compositeur officiel de la Cour. Dès l'enfance, il s'était voué tout entier au service de Dieu, s'engageant à le célébrer par sa musique, au prix d'un incessant labeur. Pour prix de ses sacrifices innombrables, il réclamait la gloire éternelle. Son talent, reconnu par l'empereur mélomane Joseph II, valut durant quelques années à Salieri les plus hautes distinctions. Mais, en 1781, un jeune homme arrive à Vienne, précédé d'une flatteuse réputation. Wolfgang Amadeus Mozart est devenu le plus grand compositeur du siècle. Réalisant la menace que représente pour lui ce surdoué arrogant dont il admire le profond génie, Salieri tente de l'évincer.
La cruelle Princesse Turandot offre sa main au prince qui saura résoudre trois énigmes, les concourants défaits étant livrés au bourreau et mis à mort. Malgré le nombre immense de princes ayant perdu la vie dans ce concours, le Prince Calaf, fou amoureux de la Princesse, décide de tenter sa chance.