Mythique cité du cinéma italien, souvent appelée « La fabbrica dei sogni « (la fabrique des rêves), Cinecittà se situe dans un quartier populaire du sud-est de Rome. Westerns, films antiques, séries télévisées, grosses productions américaines, classiques italiens : les studios ont vu défiler des milliers de films. L'idée de sa naissance émerge en 1930 : le gouvernement italien fasciste sous le joug de Mussolini souhaite industrialiser le cinéma italien afin de concurrencer le succès et le quasi-monopole d'Hollywood. Mais les studios de Cinecittà représentent surtout une importante machine de propagande fasciste.
Dans un taxi parisien, un homme apprend, par un voyant marocain, que sa sœur est sur le point de mourir. Pour tenter de déjouer la prédiction, le frère entreprend alors un voyage fictif entre le Maroc, Israël et Paris. A partir d’extraits de la trilogie écrite et réalisée par Ronit et Shlomi Elkabetz et d’archives familiales, Cahiers Noirs - Viviane et Cahiers Noirs - Ronit nous invitent dans l’intimité d’une famille judéo-arabe. Une histoire imaginaire où le frère et la sœur revisitent le passé et le présent pour défier un avenir implacable. Mais l’ombre de la prophétie plane toujours, dans la vie comme au cinéma.
Une introduction hilarante, utilisant comme exemples certains des meilleurs films jamais réalisés, à certaines des idées les plus passionnantes du philosophe et psychanalyste slovène Slavoj Žižek sur la subjectivité personnelle, le fantasme et la réalité, le désir et la sexualité.
Depuis plus d'un siècle, le train fait voyager au cinéma. Il dispute le rôle principal aux humains dans des films ayant marqué les imaginaires : La bête humaine, Le crime de l'Orient-Express, A bord du Darjeeling Limited ou encore Bullet Train. Véhicule privilégié pour refléter l'état de la société et offrir de spectaculaires séquences d'action, le train est un décor éminemment cinématographique.