La Passion du Christ : au début de ce tableau, des soldats sont occupés à mettre en croix deux voleurs condamnés à être crucifiés aux côtés de Jésus. Le Christ arrive chargé de sa croix. Il est dépouillé de ses vêtements et placé sur la Croix.
La Passion du Christ : les Apôtres sont assemblés autour de la table lorsqu’apparaît soudain le Christ. Il leur partage le pain et le vin en disant : “Mangez, buvez, ceci est mon corps, ceci est mon sang”. Judas, placé à sa droite lui donne alors un baiser, qui attire de la part de Jésus ces mots : “Oh ! mes frères, il en est un de vous qui me trahit”. Mouvement de surprise et d’indignation de tous les apôtres qui protestent de leur fidélité, pendant que l’un d’eux placé à la gauche de Jésus l’embrasse en même temps que Judas se détourne de lui.
1955 : Alain Resnais, à la demande du comité d'histoire de la Seconde Guerre mondiale, se rend sur les lieux où des milliers d'hommes, de femmes et d'enfants ont perdu la vie. Il s'agit d'Orianenbourg, Auschwitz, Dachau, Ravensbruck, Belsen, Neuengamme, Struthof. Avec Jean Cayrol et l'aide de documents d'archives, il retrace le lent calvaire des déportés.
Durant la Seconde Guerre mondiale, en septembre 1942, Hitler envisage d'envahir Stalingrad, ville clé de l'URSS qui le sépare de la victoire totale sur l'Europe. Les Russes se préparent à la défensive. Un héros aiderait à motiver les troupes. Entre alors en jeu Vassili Zaïtsev, un jeune tireur d'élite de l'Armée rouge. Doué d'une stupéfiante adresse au tir, il est remarqué par un commissaire au peuple, Ivan Danilov. Les deux jeunes gens deviennent amis. Ranimer la flamme de l'héroïsme, redonner aux soldats décimés la force de lutter contre l'implacable machine de guerre allemande, telle est la mission de Danilov. Celui-ci fait de Vassili le héros de sa propagande. Dans le camp ennemi, l'état-major dépêche son meilleur tireur d'élite, le Major König, pour abattre celui qui est devenu le symbole de l'indomptable résistance russe.