Dans un monde peuplé de dieux puissants et de mortels en guerre, deux êtres enchantés se rencontrent dans un royaume où règne la paix : ils sont Su Mo (Li Yi Feng), un prince des dieux de la mer, et Bai Ying (Chen Yu Qi), une princesse et descendante d'une puissante divinité de l'épée. Ils sont immédiatement attirés l'un par l'autre et entament une romance, sans se rendre compte qu'ils croisent en fait des lignes ennemies et suscitent l'animosité entre deux factions en guerre. Leurs actions provoquent la colère des autres divinités et Su Mo est finalement expulsé du royaume. Accablée par le chagrin, Bai Ying tente de mettre un terme à son existence en se jetant du haut d'une magnifique pagode.
La DI forte, pleine d'esprit et énigmatique Annika Strandhed, alors qu'elle dirige une nouvelle unité spécialisée dans les homicides marins (MHU) chargée d'enquêter sur les meurtres inexpliqués, brutaux et apparemment insondables.
Nous sommes transportés dans une autre dimension, une dimension faite non seulement de paysages et de sons, mais surtout d'esprits. Un voyage dans une contrée sans fin dont les frontières sont notre imagination. Un voyage au bout des ténèbres où il n'y a qu'une destination : la Quatrième Dimension.
L'action principale du livre a lieu dans le Moscou des années 1930, où Satan se manifeste sous l'identité d'un mystérieux magicien nommé Woland, accompagné d'une troupe hétéroclite composée du fantaisiste cabotin Fagotto (ou Fahoth, selon les traductions), alias Koroviev, du chafouin et bavard chat noir Béhémoth, du tueur Azazello (référence probable au démon Azazel) et de l'impudique sorcière rousse Hella. Ce groupe prend pour cible l'élite littéraire avec son syndicat officiel, le MASSOLIT, son restaurant-QG pour les privilégiés de la nomenklatura (la maison Griboïedov), ses bureaucrates et ses profiteurs, ainsi que les sceptiques et les mécréants. Le film débute par une discussion sur l'existence de Dieu entre le chef de la scène littéraire officielle, Berlioz, athée notoire, et un étranger très distingué (Woland) rencontré dans le parc de l'Étang du Patriarche. Woland prédit à Berlioz qu'il ne se rendra pas à la réunion du MASSOLIT où il est attendu le soir même, et qu'il mourra la tête coupée. De fait, peu après, Berlioz glisse sous un tramway et est décapité. Témoin de toute la scène, le jeune poète Ivan Biezdomny (dont le nom signifie « sans-logis ») tente vainement de poursuivre et capturer Woland, qu'ont rejoint Fagotto et un chat noir géant, puis d'avertir les autorités de la nature diabolique du trio, mais ne parvient qu'à se faire jeter dans un asile de fous. À ce point apparaît le personnage du Maître, un auteur aigri, désespéré du rejet dont a fait l'objet son roman sur Ponce Pilate et le Christ, au point d'en avoir jeté au feu le manuscrit avant de se détourner du monde, y compris de son aimée Marguerite. Après une période de vagabondage, il se fait interner dans l'hôpital psychiatrique où échouera plus tard Biezdomny. Ladite maison de fous joue un rôle d'importance puisque, tout au long du roman, des victimes des farces de la troupe de Satan s'y trouveront enfermées.