Sur le thème de la séduction de l'homme par la femme, un tableau satirique de la vie à Saint-Germain-des-Prés.
Un hommage à Mallarmé qui non seulement affirme la pertinence de son œuvre, mais confronte également ses ambiguïtés littéraires à ses propres ambiguïtés politiques et cinématographiques. Dans ses grandes lignes, le film ne pourrait être plus simple : il propose une récitation de l'un des poèmes les plus célèbres et les plus complexes de Mallarmé (il s'agit de sa dernière œuvre publiée de son vivant, parue en 1897, un an avant sa mort) et propose un équivalent cinématographique à l'expérience originale de l'auteur en matière de typographie et de mise en page en attribuant les mots à neuf locuteurs différents, en séparant chaque locuteur au fur et à mesure qu'il parle et en utilisant de légères pauses pour correspondre aux espaces blancs sur la page d'origine.
Amélie, une jeune serveuse dans un bar de Montmartre, passe son temps à observer les gens et à laisser son imagination divaguer. Elle s'est fixée un but : faire le bien de ceux qui l'entourent. Elle invente alors des stratagèmes pour intervenir incognito dans leur existence. Le chemin d'Amélie est jalonné de rencontres: Georgette, la buraliste hypocondriaque, Lucien, le commis d'épicerie, Madeleine Wallace, la concierge portée sur le porto et les chiens empaillés, ou encore Raymond Dufayel alias « l'homme de verre », son voisin qui ne vit qu'à travers une reproduction d'un tableau de Renoir. Cette quête du bonheur amène Amélie à faire la connaissance de Nino Quincampoix, un étrange « prince charmant ». Celui-ci partage son temps entre un train fantôme et un sex-shop, et cherche à identifier un inconnu dont la photo réapparaît sans cesse dans plusieurs cabines de photomaton.
L'histoire d'un couple de yuppies, les Rose, qui, après une existence qu'ils pensaient heureuse et confortable, se retournent tout à coup l'un contre l'autre, n’omettant aucune bassesse pour se détruire, jusqu'à l'apaisement et la conquête de l'instant de bonheur final.
Antoine tombe amoureux de Colette, mais elle le traite en copain. Deuxième volet du cycle Antoine Doinel initié avec le film Les 400 Coups.
Deux romantiques sont attirés l'un par l'autre lors du mariage d'un ami. Mais juste avant de se rencontrer, ils échangent des confessions sur leur passé respectif, dans l'éventualité où il s'agirait d'une vraie histoire d'amour.