En 1908, une femme de la grande bourgeoisie se venge avec finesse de son mari, qui la trompe avec sa meilleure amie. Adaptation de la pièce de Sommerset Maughan, avec Edwige Feuillère et Denise Grey.
Lorette Heller a eu jadis, avant son mariage avec un industriel prospère, un flirt innocent. Une lettre éveille la jalousie de son irascible époux dont les soupçons se portent aussitôt sur son ami Crémone, un être plat et niais. Pour détourner ses soupçons, Lorette veut engager un figurant...
Parce que Cléomène, roi de Sparte, avait jadis séduit la maîtresse de Léonidas, puissant prince commandant les armées, ce dernier se vengeait en l’incarcérant avec la reine son épouse. Léonidas monta sur le trône. Six mois après le décès de Cléomène, la souveraine déchue, toujours en captivité, mourrait en mettant au monde un jeune garçon, Agis. À sa naissance, celui-ci fut enlevé et confié à une famille adoptive. Aujourd’hui c’est Léonide, la nièce de Léonidas, qui règne. Cependant elle n’ignore rien de l’usurpation originelle de son oncle. Refusant d’hériter d’une couronne volée, elle décide de partir à la recherche du prince légitime que l’on croit mort.
A Paris, dans l'étude de notaire de Maître Rocher, les intrigues vont bon train et la standardiste, Melle Alice Postic, intarissable bavarde à l'humour frappé fait régner la gaîté. Elle va être le témoin d'un assassinat et découvre son patron, le notaire Maître Rocher, avec un poignard planté dans le dos. Elle alerte la police et s'évanouit. Quand elle revient à elle, le mort a disparu et le terrible inspecteur Henri Grandin, surnommé "Tête de fer" fait irruption dans l'étude pour résoudre cette énigme et retrouver ce cadavre voyageur. Alice et Henri se reconnaissent, amis d'enfance ils vont mener l'enquête tant bien que mal, car notre standardiste, trop bavarde, embrouille les pistes.
Antoinette qui veut épouser Jules apprend à l'état civil qu'elle est déjà mariée avec un baron de Mont-Vermeil. Elle se souvient que dix ans plus tôt on lui vola son sac à main, ses papiers et que la voleuse a épousé, sous son identité, un baron. Elle se présente au manoir de son « époux légal » pour lui dévoiler la vérité et réclamer le divorce. Mais non sans difficultés, la tante du baron est une comtesse très conservatrice. Mais pas de scandale possible, le cardinal de Trémone arrive pour un séjour au château. Pour sauver les apparences devant le cardinal, Antoinette tiendra le rôle de celle qui a épousé le baron. Jules sera son frère. Son éminence, constatant que le baron est prêt à divorcer pour convoler avec Gisèle, la dame de compagnie de la comtesse, se met en tête de sauver le mariage du baron et d'Antoinette... Enregistrée le samedi 11 juin 1966 au Théâtre Marigny, à Paris.
Monsieur le Trouhadec saisi par la débauche, professeur au Collège de France, s'est rendu, incognito, à Monte-Carlo car il est tombé amoureux "à en perdre la respiration" d'une comédienne. Il ne délaissa Monte-Carlo que pour suivre Rolande qui effectue une tournée théâtrale. Hélas pour monsieur le Trouhadec, rien ne marche comme il l'espérait et notre amoureux, désespéré, se précipite vers les salles de jeux en jurant que s'il perd ses derniers francs, il se jettera dans la mer du haut des rochers de la Principauté... Enregistrée le samedi 30 décembre 1967 au Théâtre Marigny, à Paris.
Les portes claquent et les mots fusent dans cette famille bourgeoise ! Le père reproche à sa femme ses jérémiades, la mère se plaint d’être éloignée de ses enfants, le fils, François hurle à sa sœur Dominique d’aller s’épiler le nombril, la seconde fille, Danièle braille sur la bonne, Marlette qui nourrit sa tortue de spaghettis et la grand-mère reçoit la nuit un homme dans sa chambre. Le conflit de générations en mode humour ! Dès le générique, l'agitation s'installe... Enregistrée le samedi 12 novembre 1966 au Théâtre Marigny, à Paris.