
Le documentaire lève le voile sur le concept d'économie circulaire, un système économique basé sur l'idée que rien ne devrait être jeté et que tout devrait être réemployé. Un modèle qui pourrait bien sauver notre planète, mais qui suppose de rompre avec nos habitudes et notre frénésie consumériste.


L'ex vice-président Al Gore se consacre à ce qu'il considère comme le but de sa vie après l'échec de l'élection présidentielle américaine de 2000. Il s'implique lui-même dans la lutte contre le réchauffement climatique. Dans la continuité d'une présentation exposée à travers le monde dans sa tournée surnommée « the slide show », Gore met en lumière la quasi-unanimité des scientifiques s'accordant sur le réchauffement global de la Terre, débat sur la politique et l'économie du réchauffement global, et décrit les conséquences graves que le changement du climat produira si la quantité de production humaine de gaz à effet de serre n'est pas significativement réduite dans un futur très proche.

La permaculture laisse entrevoir une lueur d’espoir avec ses solutions écologiquement soutenables, économiquement viables et socialement équitables. Accessible à tous, elle peut être mise en oeuvre partout… Aujourd’hui, des hommes et des femmes se rencontrent et expérimentent cette alternative crédible. La transition “permacole” est en marche !



Bora Bora est la destination la plus prisée de Polynésie française, certainement en raison de son lagon, considéré comme le plus beau du monde. Dans ce contexte, l'îlot aurait pu sombrer sous le béton et la pollution, et le récif aurait pu être irrémédiablement impacté. Pourtant, grâce à la volonté d'une poignée d'habitants dont le maire de l'île, Bora Bora est aujourd'hui un modèle de développement durable, avec des technologies de traitement des eaux qui ont 15 ans d'avance sur la France, des programmes de reconstitution des coraux et de protection de la faune, des actions pédagogiques et de réhabilitation des traditions polynésiennes comme le "rahui" et la mise en place d'un réseau de surveillance utilisant les nouvelles technologies. Tout cela fait de l'île un véritable laboratoire à ciel ouvert qui montre la voie à suivre pour l'ensemble des milieux côtiers tropicaux dans le monde.

Après le succès colossal du Grand Bleu, Luc Besson a sillonné les mers et les océans du monde entier pour filmer la beauté et la diversité de la faune sous-marine : des pieuvres géantes de Vancouver, aux raies mantas du Pacifique (Nouvelle-Calédonie), en passant par les requins gris de Tahiti. Un film sans autres acteurs et décors que les fonds sous-marins. Une vue imprenable sur les espèces sous-marines : requins, dauphins, lamantins, pieuvres. Une exploration des fonds marins des Bahamas, du Galapagos, de Vancouver ou de Tahiti.

Depuis 6 ans, Melati, 18 ans combat la pollution plastique qui ravage son pays l’Indonésie. Comme elle, une génération se lève pour réparer le monde. Partout, adolescents et jeunes adultes luttent pour les droits humains, le climat, la liberté d’expression, la justice sociale, l’accès à l’éducation ou l’alimentation. La dignité. Seuls contre tous, parfois au péril de leur vie et sécurité, ils protègent, dénoncent, soignent les autres. La Terre. Et ils changent tout. Melati part à leur rencontre à travers le globe. Elle veut comprendre comment tenir et poursuivre son action.

Bella et Vipulan ont 16 ans, une génération persuadée que leur avenir est menacé. Changement climatique, 6ème extinction de masse des espèces... d’ici 50 ans leur monde pourrait devenir inhabitable. Ils ont beau alerter mais rien ne change vraiment. Alors ils décident de remonter à la source du problème : notre relation au monde vivant. Tout au long d'un extraordinaire voyage, ils vont comprendre que nous sommes profondément liés à toutes les autres espèces. Et qu'en les sauvant, nous nous sauverons aussi. L’être humain a cru qu’il pouvait se séparer de la nature, mais il est la nature. Il est, lui aussi, un Animal...


Sur une musique de Philip Glass se succèdent des images de nature, de vies sociales, d'individus, de paysages somptueux arrachés à la paix de la Création par des bulldozers, des brouillards de pollution... Ce film nous emmène dans des lieux situés aux quatre coins des États-Unis et nous montre le lourd tribut que la technologie moderne fait payer aux humains et à la planète. Ce poème visuel ne contient ni dialogue ni narration vocale : son ton est donné par la juxtaposition d'images et la musique exceptionnelle de Philip Glass.