Ils ont formé l'un des duos comiques de cinéma les plus populaires au monde, dans les années 1920 et 1930. Stan Laurel (1890-1965), le maigre, grand enfant à l'air ébahi et Oliver Hardy (1892-1957), le gros, irascible et dominateur, sont pourtant morts dans la misère. Après 106 films — longs et courts métrages — tournés ensemble, l'industrie qui avait fait leur gloire les rejeta sans ménagement. Ce documentaire revient sur le parcours étonnant de l'Anglais Laurel et de l'Américain Hardy, les dons d'écriture du premier, tête pensante du tandem, et les liens qui unirent les deux hommes face et hors caméra. De nombreux témoignages et archives illustrent l'évocation d'une double carrière hors normes.
The Sparks Brothers est une odyssée musicale qui raconte cinq décennies à la fois étranges et merveilleuses avec les frères/membres du groupe Ron et Russell Mael, qui célèbrent l’héritage inspirant des Sparks : le groupe préféré de votre groupe préféré.
Une tournée mythique en Angleterre de Bob Dylan en 1965, avec des apparitions de Joan Baez et Donovan.
Un film rafraîchissant et honnête sur un incroyable joueur de cricket. Une coupe du monde, une révérence stupéfiante aux Ashes et un parcours de capitaine inspirant. Sont aussi abordés les pires moments, un procès, un drame personnel et des problèmes de santé mentale. Chris Grubb et Luke Mellows ont une perspective inédite sur la vie de Ben, avec des entretiens et des éclairages de Sam Mendes.
Durant les vacances, le petit Natan retrouve son père au Mexique pour quelques jours. Tous deux embarquent en pleine mer, destination Banco Chinchorro, l'une des plus grandes barrières de corail de la planète. Dans ce cadre idyllique, un lien complice se resserre entre le père et son fils...
Un film documentaire ? Un essai ? Un pamphlet ? Un poème ? Une confession ? Une rêverie ? Un testament ? Of Time and the City, que Terence Davies signe en 2008, année où la ville de Liverpool est « capitale européenne de la culture », est tout cela à la fois. De fait l'œuvre du cinéaste est largement autobiographique et Liverpool, sa ville natale, y occupe une place centrale. On n'a pas oublié Distant Voices, Still Lives (1988) et The Long Day Closes (1991), les deux longs-métrages qu'il a consacrés à sa famille et à son enfance. Davies ne manque pas d'évoquer également sa douloureuse expérience de la religion catholique et son rejet d'une foi qui fut celle de l'enfance.