



Un road-movie joyeux à la découverte du cinéma belge présent à Cannes depuis 70 ans. Les cinéastes d’hier dialoguent avec ceux d’aujourd’hui pour dresser le portrait d’un cinéma hétéroclite et libre. Une "belge histoire" du plus international des festivals.

Dans un taxi parisien, un homme apprend, par un voyant marocain, que sa sœur est sur le point de mourir. Pour tenter de déjouer la prédiction, le frère entreprend alors un voyage fictif entre le Maroc, Israël et Paris. A partir d’extraits de la trilogie écrite et réalisée par Ronit et Shlomi Elkabetz et d’archives familiales, Cahiers Noirs - Viviane et Cahiers Noirs - Ronit nous invitent dans l’intimité d’une famille judéo-arabe. Une histoire imaginaire où le frère et la sœur revisitent le passé et le présent pour défier un avenir implacable. Mais l’ombre de la prophétie plane toujours, dans la vie comme au cinéma.

Mythique cité du cinéma italien, souvent appelée « La fabbrica dei sogni « (la fabrique des rêves), Cinecittà se situe dans un quartier populaire du sud-est de Rome. Westerns, films antiques, séries télévisées, grosses productions américaines, classiques italiens : les studios ont vu défiler des milliers de films. L'idée de sa naissance émerge en 1930 : le gouvernement italien fasciste sous le joug de Mussolini souhaite industrialiser le cinéma italien afin de concurrencer le succès et le quasi-monopole d'Hollywood. Mais les studios de Cinecittà représentent surtout une importante machine de propagande fasciste.

Un ophtalmologue rencontre par hasard un documentariste. Ensemble, ils vont réaliser qu'ils ont commis à eux deux énormément de crimes et délits.


Des cuissardes interminables, un éclat de rire irrésistible, un escargot qui vole dans un restaurant chic, une séance de shopping inoubliable au son d’une chanson-culte… Mais aussi l’amour au bout du chemin et la naissance d’une star. Sorti en 1990, Pretty Woman, réalisé par Gary Marshall avec Julia Roberts et Richard Gere, a immédiatement battu tous les records, devenant la comédie romantique la plus rentable de l’histoire du cinéma. A l’origine fable désabusée sur la prostitution à Los Angeles, son scénario a subi un sérieux relooking par le studio Disney. Et c’est ainsi que cette histoire d’amour improbable entre un homme d’affaires et une prostituée, sorte de version revisitée de My Fair Lady où une fille des rues se mue en lady, a fait rêver des millions de spectateurs et révélé au monde entier une jeune actrice de 22 ans : Julia Roberts. Bienvenue dans un monde étrange où les prostituées sont des héroïnes de contes de fées. Bienvenue… à Hollywood !



