Le 6 février 1995 à 20 heures un message radio de la Police d’Abidjan signale 2 braquages de véhicules suivis d’un meurtre. La victime s’avère être un officier de police judiciaire. L’enquête est confiée au Commissaire Kouassi. 39 ans. Licencié en droit. Nous l’avons filmé jour après jour pendant 3 mois et demi. La procédure suivie est d’inspiration française. Mais les moyens et les principes sont rudimentaires. Les coups, la terreur, l’intimidation sont les seuls moyens utilisés pour découvrir la vérité. D’où un univers cauchemardesque, kafkaïen où des innocents dénoncés par un informateur peu scrupuleux s’avouent meurtriers pour faire cesser les coups. Des dizaines de suspects sont arrêtés, interrogés, malmenés au cours de l’enquête. En vain.
Les habitudes hygiéniques sont aussi anciennes que les différentes civilisations humaines ; mais chaque époque établit ses propres coutumes : qu'elles soient privées ou publiques, partout et à toutes les époques, les méthodes de propreté personnelle ont dépendu des conventions culturelles, des morales religieuses, des idéologies politiques et des intérêts économiques ; car le contrôle de l'hygiène de base a également été et est un outil de plus dans l'exercice infini du pouvoir sur les masses.
Lorsque le chaos règne, alors que des souverains barbares et fanatiques, ecclésiastiques ou laïques, brûlent systématiquement des bibliothèques entières, des chasseurs de livres, héros secrets de l'histoire, parcourent le monde pour sauver et copier des textes, menacés par la folie des censeurs, dans le noble but d'empêcher la perte définitive du savoir humain.
Prenant pour point de départ l'élection controversée de 2000, Michael Moore retrace l'improbable ascension d'un médiocre pétrolier texan devenu maître du monde libre. Puis il ouvre la boîte de Pandore du Président et révèle les liens personnels et financiers qui unissent la famille Bush à celle de Ben Laden. Michael Moore y dénonce également les méfaits du Patriot Act et les souffrances provoquées par la guerre en Irak.
L'ex vice-président Al Gore se consacre à ce qu'il considère comme le but de sa vie après l'échec de l'élection présidentielle américaine de 2000. Il s'implique lui-même dans la lutte contre le réchauffement climatique. Dans la continuité d'une présentation exposée à travers le monde dans sa tournée surnommée « the slide show », Gore met en lumière la quasi-unanimité des scientifiques s'accordant sur le réchauffement global de la Terre, débat sur la politique et l'économie du réchauffement global, et décrit les conséquences graves que le changement du climat produira si la quantité de production humaine de gaz à effet de serre n'est pas significativement réduite dans un futur très proche.