Printemps 1978, John Travolta est "Tony Manero" dans le film "La fièvre du samedi soir", et enflamme le monde du disco. Au même moment à Santiago du Chili, alors que la terrible dictature de Pinochet sévit, Raùl Peralta, 50 ans, est fasciné par ce personnage et par l'univers du film. Tous les samedis soirs, il libère sa passion pour le disco. En compagnie d'autres danseurs amateurs, il crée un spectacle dans un night club de banlieue. Quand il apprend que la télévision organise un concours du meilleur sosie de Tony Manero, Raùl y voit sa chance de devenir une star. Sa fascination se transforme en obsession. Plus rien ni personne ne pourra alors l'arrêter...
1961. Li, onze ans, vit avec ses parents et ses six frères dans la province chinoise pauvre du Shandong. Un jour, des recruteurs de l'académie de danse de Madame Mao arrivent de Pékin à la recherche de nouvelles recrues afin d'en faire les futures étoiles de la Révolution Culturelle. Le jeune garçon est sélectionné et va devoir suivre une formation artistique et idéologique très rigoureuse...
Los Angeles, 1962. Depuis qu'il a perdu son compagnon Jim dans un accident, George Falconer, professeur d'université Britannique, se sent incapable d'envisager l'avenir. Solitaire malgré le soutien de son amie la belle Charley, elle-même confrontée à ses propres interrogations sur son futur, George ne peut imaginer qu'une série d'évènements vont l'amener à décider qu'il y a peut-être une vie après Jim.
De retour en Finlande pour les vacances d’été, Leevi aide son père à restaurer le chalet familial au bord d’un lac. Tareq, un réfugié syrien demandeur d’asile, les aide sur ce chantier. Alors que Leevi trouve refuge dans la littérature de Rimbaud, Tareq tente de se construire une identité dans un monde fait d’inégalités. Loin du regard du père, ces deux hommes que tout oppose se découvrent l’un l’autre. L’amour devient un exutoire… Genre
La plupart des grandes hérésies sont évoquées, ainsi que les rapports entre la religion et l'ordre social ou la vie intime dans un climat souvent onirique ainsi qu'il est de coutume chez Buñuel.