Une exploration de l'histoire cinématographique de l'horreur populaire, depuis ses débuts au Royaume-Uni à la fin des années 60 ; en passant par sa prolifération à la télévision britannique dans les années 70 et ses nombreuses manifestations, culturellement spécifiques, dans d'autres pays ; jusqu'à sa résurgence au cours de la dernière décennie.
Comment le Festival de Cannes a-t-il pu devenir le plus grand rendez-vous de cinéma du monde ? Depuis 75 ans, Cannes réussit ce prodige de placer le cinéma, ses fastes parfois dérisoires mais aussi ses exigences de grand art moderne, au centre de tout, comme si, l'espace de dix jours de mai, rien n'était plus important que lui. Ce film raconte comment Cannes est devenu le plus grand festival de cinéma du monde en s'ouvrant à la modernité cinématographique tout en n'oubliant jamais que le cinéma reste un art du spectacle, un art populaire.
Pur produit blond et hâlé de la côte californienne, Robert Redford, né en 1936, a dépassé l'image de sex-symbol qu'on cherchait à lui imposer en n'abdiquant jamais sa liberté. Depuis « Daisy Clover » de Robert Mulligan, qui l'a révélé en 1965, celui qui se rêvait peintre après un passage par les Beaux-Arts de Paris, a incarné plus que quiconque le versant solaire de l'Amérique. De la cause écologique, qu'il a défendue en pionnier, à la critique des dérives des institutions, Robert Redford a mis sa prodigieuse filmographie au service de ses engagements politiques.
L'histoire personnelle et professionnelle d'Ilona Staller, connue sous le nom de Cicciolina, est probablement unique : elle a quitté la Hongrie communiste pour s'installer en Italie, où elle a trouvé un environnement fertile pour une vie consacrée au scandale.