Judas Ben‐Hur, prince de Judée, retrouve son ami d’enfance Messala, venu prendre la tête de la garnison de Jérusalem. Mais leur amitié ne peut résister à leurs caractères différents. Alors qu’une pierre tombe du balcon de la maison familiale de Ben‐Hur, manquant de tuer le gouverneur qui paradait plus bas, Messala trahit son ami qu’il sait innocent en l’envoyant aux galères et en jetant en prison sa mère et sa sœur. Ben‐Hur jure alors de reconquérir sa liberté et prépare sa vengeance.
La Sortie de l'usine Lumière à Lyon est un film français réalisé par Louis Lumière, sorti en 1895, qui existe en au moins trois versions, dont l'une fait partie des dix films montrés au Salon indien du Grand Café à partir du 28 décembre 1895. Cette "vue Lumière", qualifiée non sans humour par l'historien du cinéma Georges Sadoul comme étant "presque une bande publicitaire", est considérée par de nombreux historiens du cinéma comme le premier film de l'Histoire.
En 1976, la ville de Radom était en proie aux émeutes après la décision du gouvernement d'augmenter les prix des denrées alimentaires. Le Secrétaire du Comité local du Parti avait du faire face à la situation. En 1981, après la création de Solidarnosc, il raconte ce qu'il a vécu.
En 1966, trois ans après l'assassinat du président John F. Kennedy à Dallas, Jim Garrison, procureur de La Nouvelle-Orléans (Louisiane), se plonge dans la lecture du rapport de la commission Warren chargée d'élucider le crime et ayant établi la culpabilité de Lee Harvey Oswald. Les invraisemblances et les « trous » du rapport Warren étonnent Garrison qui décide d'enquêter lui-même sur l'assassinat. Les pistes qu'il découvre avec l'aide d'une petite équipe gagnée à sa cause le mènent à la conclusion que Oswald n'était qu'une « couverture » masquant en fait un véritable complot minutieusement organisé par la CIA, le FBI et le Pentagone afin d'éliminer Kennedy.
Sergueï Loznitsa restitue avec des archives, souvent uniques et inédites, les journées de deuil en URSS suite à la mort de Staline le 5 mars 1953. Le pays semble hésiter entre la pétrification et une ronde continue autour de la dépouille du tyran, dans une parade à la fois terrifiante et grotesque.