La mise en scène historique de Robert Lepage de L’Anneau du Nibelungen de Wagner, dévoilée au cours des saisons 2010-2011 et 2011-2012, était la première nouvelle production du Met du cycle complet depuis plus de 20 ans. Combinant technologie de pointe et narration traditionnelle, il fait entrer la vision de Wagner dans le 21e siècle. Jay Hunter Morris est le héros intrépide du titre du troisième volet de l’épopée. Deborah Voigt chante Brünnhilde et Bryn Terfel is the Wanderer, avec le chef principal du Met Fabio Luisi sur le podium.
La mise en scène historique de Robert Lepage de L’Anneau du Nibelungen de Wagner, dévoilée au cours des saisons 2010-2011 et 2011-2012, était la première nouvelle production du Met du cycle complet depuis plus de 20 ans. Combinant technologie de pointe et narration traditionnelle, il fait entrer la vision de Wagner dans le 21e siècle. L’épopée en quatre parties boucle la boucle avec son final cataclysmique, dans lequel le sacrifice d’une femme rachète le monde. Deborah Voigt dans le rôle de Brünnhilde joue aux côtés de Jay Hunter Morris dans le rôle de Siegfried et Fabio Luisi dirige.
Perhan, fils bâtard d’un soldat slovène et d’une tzigane, vit avec sa grand-mère maternelle et bien d’autres compagnons farfelus dans la banlieue de Skopje. Il aimerait épouser Azra, mais la mère de son amour d’enfance refuse. Il rêve de fortune et avec la rencontre du riche Ahmed Dzida ; Perhan va pouvoir dealer avec lui et envoyer sa sœur Danira, à l’hôpital. Il ne peut pas rester auprès de sa sœur et décide de suivre Ahmed avec les enfants que ce dernier a acheté. Bientôt l’enfant perdra son innocence…
Les destins d'enfants issus des quatre coins du monde vus par les plus grands réalisateurs. Sept vies contrariées, sept enfances mal aimées ou maltraitées comme autant de témoignages et de prises de conscience de la part des adultes...