Rendezvous in Space est un documentaire de 1964 sur le futur de l'exploration spatiale
Une immersion au coeur des paysages glacés, de la faune sauvage et des communautés inuites du Groenland, terre de l’extrême menacée par le réchauffement climatique. Plus grande île du monde, appartenant au Danemark, le Groenland est recouvert à 80 % d’une calotte glaciaire. En traîneau à chiens, ce documentaire part à la découverte de ses paysages époustouflants – dont le fjord glacé d'Ilulissat, classé au patrimoine mondial de l'Unesco – et de sa faune majestueuse. Bœufs musqués, sternes arctiques, narvals et ours polaires se côtoient dans cet univers sauvage. S’immergeant aussi aux côtés des communautés inuites, le film s’intéresse à leurs techniques de chasse et de pêche, à leur alimentation ou à la manière dont elles résistent au froid polaire. Un voyage somptueux à travers un territoire singulier, aujourd’hui affecté par les conséquences du changement climatique.
Pays de glace et de feu, l'Islande possède la plus grande concentration de volcans au monde. Ses paysages, constamment modelés au gré des éruptions, en font un territoire parsemé d'indices sur la formation de notre planète et son évolution. La biologiste Bénédicte Menez, le géologue Charles Frankel et le photographe Olivier Grünewald en arpentent les régions les plus actives.
Au début du XIXe siècle, un peintre français, Jean-Jacques Audubon, parcourt la Louisiane pour peindre tous les oiseaux du Nouveau Continent. La découverte des grands espaces sauvages encourage l’utopie d’une jeune nation qui se projette dans un monde d’une beauté inouïe. Depuis, le rêve américain s’est abîmé et l’œuvre d’Audubon forme une archive du ciel d’avant l’ère industrielle. Sur les rives du Mississippi, Birds of America retrouve les traces de ces oiseaux, aujourd’hui disparus, et révèle une autre histoire du mythe national.
Voyage sur terre à l’échelle du centimètre. Ses habitants: insectes et autres animaux de l'herbe et de l'eau. Grand prix de la commission supérieure technique, Festival de Cannes 1996.
Dans ce documentaire, David Attenborough raconte les répercussions positives du confinement sur l’environnement. Sous les mers, dans les airs ou sur la terre ferme, notre planète a retrouvé son rythme quand l’activité humaine s’est arrêtée.
Sur une musique de Philip Glass se succèdent des images de nature, de vies sociales, d'individus, de paysages somptueux arrachés à la paix de la Création par des bulldozers, des brouillards de pollution... Ce film nous emmène dans des lieux situés aux quatre coins des États-Unis et nous montre le lourd tribut que la technologie moderne fait payer aux humains et à la planète. Ce poème visuel ne contient ni dialogue ni narration vocale : son ton est donné par la juxtaposition d'images et la musique exceptionnelle de Philip Glass.