Une jeune fille mène une double vie de tueuse à gages.
Le fait de "penser" exige aujourd'hui un questionnement. Ne vivons-nous pas un basculement avec l'intelligence artificielle qui vampirise de plus en plus nos vies, orientant nos pensées les plus intimes, sans que nous en soyons toujours conscients ?
Après la Seconde Guerre mondiale, de nombreuses jeunes femmes françaises sont devenues des femmes au foyer, convaincues que se consacrer entièrement aux soins de leur famille était une noble mission et un moyen d'épanouissement personnel.
Pour beaucoup, le nom d'Anouk Aimée évoque l'amoureuse endeuillée du film « Un homme et une femme », de Claude Lelouch. D'autres encore revoient Lola et sa silhouette à collant ajouré dans le film de Jacques Demy, ou encore, l'évoquent, nocturne et provocante, dans le rôle de l'aristocrate libertine de la « Dolce Vita », de Fellini. Malgré sa carrière internationale et ses récompenses, Anouk Aimée avait su préserver son intimité et sa vie privée. Elle était discrète, secrète et ses confidences étaient rares. Dans ce film, la comédienne revenait sur les lieux de sa vie, comme l'arrondissement parisien où elle vivait petite fille sous l'Occupation, la bohême Saint-Germain-des-Prés, ou les planches de Deauville, en compagnie de Claude Lelouch.
De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la détérioration continue de la planète.
Daniel, le chauffeur de taxi dingue de vitesse, et Emilien, l'inspecteur de police inexpérimenté, se retrouvent à Paris. Le ministre de la défense japonais vient tester le savoir-faire hexagonal en matière de lutte antiterroriste et signer le contrat du siècle avec l'Etat français. Mais il est enlevé par des yakusas...
En 1934, la découverte d’une sépulture de la période préhistorique dans un parc de Bad Dürrenberg, dans le Land de Saxe-Anhalt, permet opportunément à l’archéologue Friedrich-Karl Bicker et à l’anthropologue Gerhard Heberer d’accréditer les thèses nazies, qui présentent l’Allemagne comme le berceau de la race aryenne. Car l’occupant de la tombe, assurent-ils, est un « aryen originel ». Dans les années 1950, un nouvel examen révèle pourtant qu'il s’agit en réalité du squelette d’une femme. Mais nul ne souhaite alors prolonger l’étude de ces vestiges dont les nazis ont entaché l’image