Ben Healy et sa femme ne se doutent guère de ce qui les attend le jour où ils adoptent Junior. Derrière un sourire enjôleur se cache en fait un petit monstre renvoyé de plusieurs orphelinats...
Gus, un cambrioleur malchanceux, est abandonné par son partenaire au beau milieu d'un coup et est obligé de prendre un couple plutôt irritant venant du Connecticut. Mais très vite, le couple s'avère insupportable : ils se disputent sans arrêt et passent leur temps à parler de leurs histoires de famille. Gus se rend vite compte que la seule façon d'échapper à la police et de pouvoir retourner à sa vie, est de résoudre les problèmes de ses otages ...
Darren Silverman, Wayne et J.D. sont les meilleurs amis du monde depuis leur plus tendre enfance. Ils ont en commun beaucoup de souvenirs, un humour que le campus n'a pas pu oublier et une passion immodérée pour Neil Diamond. Leur vie s'écoule paisiblement entre soirées foot et chansons de leur idole. Lorsque la sublime et frigorifique Judith débarque dans la vie de Darren, elle est bien décidée à en faire son serviteur dévoué. C'est l'alerte rouge ! Finies les chansons, finies les soirées. Darren devient progressivement l'esclave de cette glaciale séductrice qui l'éloigne de ses amis. Jamais à court de plans foireux, Wayne et J.D. songent d'abord à utiliser Sandy, l'amour de jeunesse de Darren, pour le libérer de la diablesse, mais la douce jeune fille doit entrer au couvent dans moins d'une semaine...
Charles, un bourgeois bien sous tous rapports, à l'existence tranquille, voit sa vie bouleversée par l'arrivée dans sa voiture de la sexy Audrey Hankel. Tous deux s'offrent le temps d'un week-end une fugue pleine de péripéties. Cette escapade prendra toutefois une tournure dangereuse avec la rencontre de Ray Sinclair, l'ancien mari d'Audrey.
À travers l'épopée à la fois comique et horrible vers Las Vegas du journaliste Raoul Duke et de son énorme avocat, le Dr. Gonzo, évocation caustique et brillante de l'année 1971 aux États-Unis, pendant laquelle les espoirs des années soixante et le fameux rêve américain furent balayés pour laisser la place à un cynisme plus politiquement correct.