Paris 1942. Sept convives, s’étant plus ou moins bien accommodés à l’Occupation allemande, se retrouvent chez l’un d’eux pour fêter l’anniversaire de leur hôte. La soirée se déroule sous les meilleurs auspices, lorsqu'au pied de leur immeuble sont abattus deux officiers allemands. En représailles, la Gestapo investit l'immeuble et décide de prendre deux otages par appartement. Mais le Commandant Kaubach, qui dirige l’opération, reconnaît en la personne du propriétaire de l'appartement, M. Pélissier, un libraire à qui il achète régulièrement des ouvrages. Soucieux d'entretenir les rapports courtois qu'il a toujours eus avec lui, il décide de les laisser finir leur dîner et de ne passer prendre ses otages qu’au dessert. Mieux… il leur laisse la liberté de choisir eux-mêmes les deux otages qui l’accompagneront. C'est ainsi que peut commencer "Le Repas des Fauves". Capté au Théâtre Hébertot à Paris 17ème.
Le film se passe pendant la période des réformes Tenpō conduites et mises en place par Mizuno Tadakuni (1793-1851). Celui-ci était un moraliste qui voulait tout réglementer, voyant dans les plaisirs et l'art une perte de temps réduisant la fibre patriotique. Le film concerne divers personnages vivant dans un quartier des plaisirs se retrouvant impliqués dans l'aventure d'acteurs rebelles...
Londres au début du XXe siècle, J. M. Barrie auteur de pièces de théâtre est en manque d’inspiration. Son mariage ne va pas bien, sa dernière pièce est un désastre. Mais alors qu’il est dans le parc avec son chien Porthos, il rencontre Mme Sylvia Llewelyn Davies, qui est veuve, et ses 4 garçons. Une amitié très forte naît entre J. M. Barrie, les 4 enfants et leur mère.
Un homme et une femme qui se sont aimés se retrouvent dans un cimetière. Il est ici pour assister aux obsèques de sa grand-mère, elle s’est laissée attirer par ce lieu sans trop savoir pourquoi. Les parents de l’homme, venus déverser leurs reproches, gravitent autour des amants qui se désirent et se rapprochent inéluctablement. Mais qu’ont-ils vraiment vécu? Et ont-ils encore quelque chose à vivre?
Alors que les Allemands occupent la moitié de la France, Marion Steiner ne pense qu'aux répétitions de la pièce qu'elle doit monter au théâtre Montmartre dont elle assure la direction depuis que son mari, Lucas, juif allemand, s'est enfui de Paris. En réalité, Lucas s'est réfugié dans les sous-sols du bâtiment. Chaque soir, Marion lui rend visite et commente avec lui le travail des comédiens, notamment celui du jeune premier de la troupe, Bernard Granger.
Castella est un chef d'entreprise peu porté sur la culture. Pourtant, un soir, en allant par obligation assister à une représentation de "Bérénice", il tombe en adoration du texte et de l'actrice principale, Clara. Par une coïncidence, celle-ci va lui donner des cours d'anglais, nécessaires à son travail. Castella tente de s'intégrer à ce milieu artistique mais sans grand succès. On ne bouscule pas ainsi les cadres de références et les barrières culturelles sans faire d'histoires.
1414. Le Roi Henry V d'Angleterre décide de faire valoir ses droits à la couronne de France. Il décide alors de mener une bataille contre la France. En cours de route, le jeune roi doit se battre contre la baisse de morale de ses troupes et vaincre ses propres doutes. Une fois sur le sol français, les troupes anglaises progressent sans rencontrer de grande résistance et assiègent bientôt Harfleur ...