La supplication

35 ans après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, retour sur l'incroyable bataille menée par l'Union Soviétique contre les radiations. C’est une histoire hors norme avec ses héros, ses traîtres et ses mensonges. Ce film en explore les enjeux historiques à moyen et long terme.

Le 26 avril 1986, après l’explosion de Tchernobyl, un nuage radioactif hautement toxique se déplace vers le reste de l’Europe. Le 1ᵉʳ mai, après avoir survolé le Sud-Est de la France et la Corse, le nuage recouvre les trois quarts du territoire français. Les autorités françaises affirment pourtant qu’il s’est arrêté à nos frontières. Retour sur l’un des plus gros mensonges du gouvernement français envers sa population.

A Sniper’s War raconte l’histoire d’un tireur d’élite dont les opinions anti-américaines l’ont conduit à rejoindre les rebelles pro-russes dans le conflit ukrainien en cours, principale source de tension entre les États-Unis et la Russie. Lorsque les réseaux sociaux deviennent une plate-forme de communication pour programmer des duels de tireurs d’élite, le rival de Deki menace de le tuer. La cinéaste new-yorkaise Olya Schechter obtient un accès sans précédent aux bases militaires et aux batailles de première ligne pour peindre un portrait intime de la nature complexe et fascinante d’un homme qui marche sur la corde raide qui mène souvent à la moralité de la guerre : Deki est-il un soldat ou un tueur ?

Trente ans après la catastrophe de Tchernobyl, cinq ans après celle de Fukushima, Olivier Julien a enquêté auprès des habitants de trois zones contaminées, en Biélorussie, auprès des Samis de Norvège et au Japon. La science montre ses limites face aux incertitudes majeures liées aux «zones grises», ces endroits contaminés, mais où les habitants ont pu rester. Une cohabitation incertaine avec la radioactivité.

À précisément 1:23:48 par un matin de printemps en date du 26 Avril 1986, le monde a changé pour toujours. À Pripyat, en Ukraine dans l'Union soviétique, le plus grand réacteur nucléaire en son genre a explosé à la centrale de Tchernobyl. Ce film utilise des faits non divulguées précédemment et les rapports de témoins oculaires afin de reconstituer les événements de la dernière heure fatidique.

Hélène Châtelain revient dans le village de l'anarchiste russe Nestor Makhno, plus de 70 ans après la défaite du mouvement makhnoviste. La mémoire de cette révolution anarcho-communiste est encore bien vivante, malgré les tentatives du pouvoir soviétique d'en écraser jusqu'à la dernière trace au moyen de la répression et de la calomnie.