Un ex-détenu part à la recherche de sa sœur kidnappée dans les bas-fonds criminels de Shreveport, en Louisiane.
Charlie Barrett, parrain redoutable, trouve la table de son club préféré occupe par deux étudiants de bonne famille, Max Minot et Avery Chasten, fils d'un magnat local. Désireux de rencontrer le père d'Avery, Charlie décide de prendre un verre avec eux et accepte de les accompagner a un diner mondain. Mais cette promenade amicale se termine en enlèvement. Les deux jeunes gens sont persuades que seul Charlie peut les aider a retrouver Elise, la sœur d'Avery, kidnappée par deux affranchis qui demandent une rançon de deux millions de dollars.
Henry, portrait d'un serial killer est un film basé sur la vie et les 'exploits' macabres de l'un des tueurs en série les plus monstrueux de toute l'histoire des Etats Unis: Henry Lee Lucas. Comme tous les serial killers Harry possède un double visage, celui d'un homme ordinaire sans histoire, et un autre qui l'entraine dans une folie meurtrière sans précédent en compagnie de son ami et 'collègue' Otis Toole.
Emprisonné à tort, Jack Hammond s'évade au cours de son transfert et craque, prenant en otage Natalie Voss, la fille d'un milliardaire. Il se retrouve sur l'autoroute au volant de la BMW de son otage, poursuivi par une escouade de voitures de police et un reporter TV qui transmet en direct les exploits du dangereux criminel qu'il n'est pas...
Nami, une Japonaise de 20 ans, hérite d'une petite fortune. Largement abandonnée par ses parents lorsqu'elle était enfant, [2] Elle passe son temps à dépenser son argent, à commander de nouveaux appareils et à acheter des vêtements. Cependant, s'ennuyant de cela, elle commence à développer une gamme d'activités anormales. Nami elle-même, malgré sa richesse indépendante, est solitaire et vit une existence isolée. Elle commence à développer l'habitude d'observer les gens, et de manière voyeuriste , elle commence à observer d'autres personnes dans un état de même isolement (et parfois fou). [3] Elle appelle ces gens des "Solitaires". Elle se concentre en particulier sur les personnes âgées et vulnérables et en particulier les hommes. De son appartement en ville, avec de puissantes jumelles, elle observe ces hommes, et les regarde parfois sombrer dans la folie et la mort, prenant même des selfies avec leurs cadavres.
Wayne et Eileen mènent une existence confortable jusqu'au jour où Wayne est victime d'un enlèvement. Tandis que ce dernier tente de négocier avec son ravisseur, sa femme collabore sans relâche avec le FBI pour assurer sa libération.
Un psychopathe connu sous le nom de Buffalo Bill sème la terreur dans le Middle West en kidnappant et en assassinant de jeunes femmes. Clarice Starling, une jeune stagiaire du FBI, est chargée d’interroger l’ex‐psychiatre Hannibal Lecter. Psychopathe redoutablement intelligent et porté sur le cannibalisme, Lecter est capable de lui fournir des informations concernant Buffalo Bill ainsi que son portrait psychologique. Mais il n’accepte de l’aider qu’en échange d’informations sur la vie privée de la jeune femme. Entre eux s’établit un lien de fascination et de répulsion.
Jerry Lundegaard, vendeur de voitures d’occasion à Minneapolis est endetté jusqu’au cou. Pour s’en sortir, il fait appel à Carl Showalter et Gaear Grimsrud, deux escrocs à la petite semaine, pour qu’ils enlèvent son épouse Jean. Il pourra ainsi partager avec les ravisseurs la rançon que son riche beau-père paiera pour la libération de sa fille. Mais le plan va rapidement tourner au désastre.
Trois femmes sauvages, dans trois somptueuses voitures, décident de former un gang et se livrent à des pillages meurtriers. Elles kidnappent et droguent la petite amie d’une de leurs victimes et se cachent dans un ranch isolé appartenant à un vieil homme infirme qui vit avec ses deux fils. Cet homme détient et cache une grosse somme d’argent. Les trois femmes tentent de séduire les deux fils afin de découvrir où est le butin.
Ce devait être le hold-up parfait, le chef-d’œuvre d'un génie du crime. Le décor: une grande banque de Manhattan. Les protagonistes: un commando masqué, cagoulé, lunetté et des dizaines d'otages affolés, contraints de revêtir la même combinaison passe-partout que les braqueurs. L'enjeu: la salle des coffres et ses trésors? Ou un vieux secret dont seules 2 personnes connaissent l'importance? Aujourd'hui, confiné dans une cellule, le cerveau de la bande s'explique. Mais attention, chaque mot compte, et aucun indice ne vous sera livré au hasard. Prêts? Ce matin-là, donc, 4 peintres en bâtiment franchissaient le seuil de la Manhattan Trust Bank…