Street of Missing Men

Seth George est un flic d'un genre particulier. Sous une fausse identité, il démantèle les gangs de l'intérieur. Travail dangereux, particulièrement lorsqu'il se frotte de près à Sophie Zen, beauté fatale qui, à New York, organise avec quelques complices le casse particulièrement audacieux d'une grande banque.

Poussé par sa femme Lynn, Porter, petit gangster teigneux fier d'être à son propre compte, accepte de faire équipe avec Val Resnick, malfrat sans scrupule qui ambitionne d'intégrer l'Organisation. Les deux hommes organisent un hold-up contre la mafia chinoise. L'opération tourne mal, Val s'approprie le magot avec la complicité de Lynn et abat froidement Porter qu'il laisse pour mort. Cinq mois plus tard, Porter refait surface, bien décidé à se venger et à récupérer son du. Il retrouve Resnick, le tue mais se retrouve face à l'Organisation qui veut venger Resnick.

A Garrison, cité-dortoir pour les flics de New York, le shérif Heflin est un dépressif obèse que personne ne respecte. La loi du silence de la profession lui impose un jour de masquer une bavure mortelle, mais l'insistance de l'incorruptible enquêteur Tilden va l'obliger à faire un choix…

Jeff et Amy ont décidé de changer de vie et laissent Boston derrière eux pour aller s'installer à San Diego. Leur voiture tombe en panne, en plein désert. Par chance un camionneur propose à Amy de l'amener au restaurant le plus proche pour chercher du secours. Ayant finalement réussi à localiser la panne, Jeff pense retrouver sa femme dans ce bar au milieu de nulle part. Mais personne ne semble avoir vu ni Amy ni le mystérieux camion…

Anne Welles quitte sa famille et son fiancé pour découvrir New‑York. Elle fait la connaissance de deux autres jeunes femmes qui prévoient de faire carrière dans le monde du spectacle : l'ambitieuse et prometteuse Neelly O'Hara et la très belle mais peu talentueuse Jennifer North. Très vite, elle s'aperçoit que le milieu est impitoyable.

Né un 4 juillet, John Sims se sent voué à un avenir brillant. Mais la mort de son père l'oblige à travailler, parmi tant d'autres employés, dans une grande compagnie new-yorkaise.

Danny Balint, un skinhead new-yorkais de 22 ans violemment antisémite, s'en prend régulièrement aux Juifs. Orateur admiré dans un groupuscule d'extrême-droite, il se voit confier la mission de collecter des fonds pour ce mouvement néo-nazi en quête de respectabilité. Mais Danny Balint est lui-même juif et donc contraint de cacher sa véritable identité. Jusqu'au jour où un journaliste met la lumière sur cette insupportable dualité et menace de la rendre publique. Danny Balint vit alors de plus en plus mal ses contradictions et s'engage encore plus radicalement dans des actions antisémites. Mais ses racines, son enfance et sa religion vont inexorablement le rattraper.

Le dimanche 30 janvier 1972, à Derry, en Irlande du Nord, Ivan Cooper est l'organisateur d'une marche pacifique pour l'égalité des droits entre catholiques et protestants, farouchement déterminés à éviter toute violence entre les différents protagonistes. Mais malgré son dialogue avec les autorités unionistes et ses tentatives de négociation avec les forces de l'ordre britanniques, la manifestation se transforme en émeute : treize personnes sont tuées par l'armée. Cette journée, désormais inscrite dans l'Histoire sous le nom de Bloody Sunday, marque le début de la guerre civile.

L'Ecole des arts du spectacle a entamé ses auditions. Filles et garçons y déploient leurs talents. Montgomery fait merveille en art dramatique en racontant une de ses séances d'analyse. Bruno inquiète les vieux professeurs de musique avec sa sono démesurée. Doris, qui arrive à peine à maîtriser son trac, pousse néanmoins la chansonnette devant sa mère émue. Il y a aussi Ralph, qui fait le clown, et Leroy, le danseur provocant. Toute cette fantaisie, les étudiants vont apprendre à l'exploiter pendant trois années de durs efforts. Tout n'est pas rose. Ainsi, Leroy affronte régulièrement son professeur d'anglais. Sa compagne Hilary décide d'avorter, pour ne pas freiner sa carrière...

Tueur Vincent "Mad Dog" Coll se déplace dans le gangster Dutch Schultz dans les années 1920 à New York.

Vers la fin des années 70, sur la 54e rue de Manhattan, dans un ancien studio de télévision tombé dans l'abandon, surgit dans la vie nocturne new-yorkaise un lieu qui va vite acquérir le statut international de plus grande boîte de nuit de tous les temps. Le Studio 54, un lieu imaginé par Steve Rubell, un entrepreneur originaire de Brooklyn, devient l'âme et le symbole de son époque. Ce film évoque les grands moments de ce haut lieu des nuits new-yorkaises et toutes les personnalités qui l'ont fréquenté.