Pour ses 16 ans, Etienne reçoit un caméscope. Il commence alors à filmer tout ce dont il croit important de garder une trace : sa mère, son copain Ludovic, son professeur d'histoire-géo, son entraînement au patinage, accumulant ainsi des fragments de vie. Mais il va comprendre que filmer n'est pas un jeu aussi innocent...
Dans les rues et terrains vagues de Lisbonne, la nuit, un jeune éboueur traque un garçon, objet de ses fantasmes, et devient une sorte de fantôme vêtu en latex, enfermé dans ses désirs.
La foi est-elle plus forte que l'attirance sexuelle ? C'est à cette difficile question que va devoir répondre Brady, un jeune Chrétien pieux de 18 ans, quand lui et sa mère déménagent dans une ville côtière du nord de la Californie... et où il tombe amoureux de son nouveau voisin Clifford...
L'histoire commence il y a quelques décennies, dans une communauté de langue allemande des États-Unis. Dieter (Matt Klemp) et Philip (Andrew Woodhouse) sont deux copains inséparables, jusqu'au jour où Philip se fend d'une déclaration d'amour qui n'est pas très bien reçue. Mais Dieter est bouleversé. Alors que son ami torturé s'évade vers la ville, il demeure à New Ulm, désemparé, incapable de faire un choix. Sur ces entrefaites débarque d'Allemagne Udo (Ralf Shirg), garçon désoeuvré apparemment incapable de se prendre en charge, mais à certains égards plus sûr de son identité. À son contact, Dieter va accomplir le chemin sentimental qui le ramènera vers Philip.
À Moscou, Timofei, un publicitaire, tombe amoureux de Véra, présentatrice du journal télévisé qui adore manger. Mais un soir, en rentrant chez lui, il renverse un jeune homme, Uloomji, dont la rencontre va l'amener à révéler son homosexualité.
Avec Maman que man, Lionel Soukaz nous transporte dans un tourbillon d’expériences, de sensations, d’émotions et de fulgurances : si la mère manque (que man en verlan), elle ne cesse de brûler (quemar en espagnol), comme une piéta précieuse.