Massoud, l'Afghan est un film documentaire français réalisé par Christophe de Ponfilly, sorti en 1998. Il dresse le portrait du Commandant Massoud en filmant la lutte de ce dernier contre les Talibans en 1997.
Après le succès de l'opération secrète américaine visant à éliminer le terroriste le plus recherché du monde, Ben Laden, de nombreuses interrogations subsistent. Notamment comment le chef d'Al-Quaida a pu réussir à échapper à son arrestation pendant plus de dix ans. Le journaliste Peter Bergen, spécialisé en terrorisme islamique, a interviewé des anciens agents de la CIA, de la Marine et un pilote de commando, qui dévoilent comment les forces américaines sont parvenues à mener cette attaque-surprise au Pakistan. L'enquête réunit les témoignages du voisinage ainsi que des passants présents pendant la rafle, et des agents officiels de la Maison Blanche et du Pakistan.
Le combat qui fit rage le 3 octobre 2009 durant la guerre en Afghanistan, entre 53 soldats américains et près de 400 talibans.
Le 9 octobre 2012, dans la vallée du Swat au Pakistan, un bus scolaire est attaqué par des talibans. Malala Yousafzai, quinze ans, reçoit une balle dans la tête. L'adolescente a été visée parce que depuis des années, elle défend le droit d'aller à l'école pour les filles. Malala a survécu à sa blessure et elle s'est installée avec sa famille en Angleterre. Elle continue à mener son combat pour l'éducation à travers le monde, ce qui lui a valu le Prix Nobel de la Paix en 2014. Ce documentaire brosse son portrait au quotidien avec ses proches et dans ses activités.
Ce film - sans commentaire et simplement accompagné de musiques locales - relate l'ascension en 1969 de la face Nord du Kohe Shakhawr, sommet de l'Himalaya situé à la frontière de l'Afghanistan par les alpinistes Benoît Mathieu, Jacques Soubis, René Thomas, Jean-Paul Paris, Isabelle Agresti, Henri Agresti, Roger Dietz, Jean-Pierre Frésafond, Paul Gendre, Claude Jager et Félix Magnin. Il y'a, comme souvent dans les films de Henri Agresti, la rencontre avec d'autres peuples, d'autres cultures, longuement documentée en introduction. C'est ensuite, après l'interminable approche, le début de l'ascension : répartition des camps, assauts successifs sur la montagne, marche dans des pierriers abruptes et des pentes enneigées, escalade sur des parois glacées... L'arrivée au sommet, sans l'aide d'appareils à oxygène, semble se dérouler au ralenti : l'épuisement se mêle à la joie des alpinistes victorieux qui fêteront leur réussite de retour au camp de base le 24 août 1969.
Les alpinistes Reinhold Messner et Hans Kammerlander, entreprennent l'ascension de deux sommets de l'Himalaya culminant à 8000 mètres, d'une seule traite, sans camp fixe, sans radio ni oxygène. Messner a déjà gravi ces deux sommets, mais les enchaîner ainsi, sans retour au camp de base, serait un exploit inédit.