Progression

Avec en toile de fond les paysages à couper le souffle de la Patagonie, David Lama, jeune prodige de l’escalade, s’attaque à la fameuse face sud-est du Cerro Torre, montagne dont il se disait autrefois qu’elle était la plus difficile au monde. Aucun homme n’a jamais escaladé ce pic de granite en ascension libre. Mais c’est précisément ce que David et son partenaire Peter ont l’intention de faire. Alors qu’il est confronté à des défis naturels et logistiques, David finit par comprendre la vraie nature de son projet et se rend compte de ce qu’il lui faudra accomplir pour atteindre le sommet. À la fois un documentaire sur l’alpinisme, l’amitié et la transformation, c’est aussi un parcours initiatique, qui dresse un aperçu détaillé de la pratique de l’escalade et de l’alpinisme, ainsi que de leurs nombreuses philosophies et approches éthiques.

Yuichiro Miura, un skieur japonais, a rêvé de littéralement skier sur le mont Everest. Il prévoyait de skier quelque 8 000 pieds sur un glacier glacé à un angle de 40 à 45 degrés, à partir du niveau de 26 000 pieds près du sommet. Le documentaire relate cet exploit incroyable et l'énorme tâche de gravir l'Everest lui-même. Le narrateur lit le journal que le skieur a tenu personnellement. Le film a été produit par le cinéaste canadien Budge Crawley avec les images réalisées pour le documentaire japonais original de 1970 (Eberesuto dai kakko). Crawley a remporté l'Oscar du meilleur long métrage documentaire pour cette photo.

Quatre films épiques à la pointe de l'escalade. Le record de vitesse de l'ascension de The Nose dans le Yosemite : Alex Honnold et Tommy Caldwell gravissent le grand mur le plus célèbre du monde en moins de 2 heures. The High Road : Nina Williams pousse le bloc vers de nouveaux sommets. États-Unis de Joe's : Un choc culturel entre des grimpeurs bizarres et des habitants conservateurs de l'Utah. The Alpinist : Un aperçu du long métrage documentaire à venir avec le légendaire Marc-André Leclerc.

Un regard sans détour sur la vie et l'histoire de Mark Kerr entre 1999 et 2001, athlète intelligent, éloquent et émotionnellement vulnérable, considéré à l'époque par beaucoup comme le combattant d'ultimate le plus dominant au monde. Ancien lutteur olympique, Kerr dominait avec aisance tous ses adversaires, ce qui lui valut son surnom de « The Smashing Machine ». Avec la promesse de gains importants et l'euphorie de ses premières victoires, Kerr doit lutter contre ses blessures et ses peurs intérieures. Les chocs de ces combats pèsent lourdement sur son corps et son esprit, Kerr, tente de surmonter ces traumatismes physiques et psychologiques en se tournant vers les antalgiques. L'addiction de Kerr est montrée à l'état brut, et la caméra le filme solliciter désespérément de la drogue auprès de ses amis et du personnel, et s'injecter des analgésiques dans les veines. Sa défaite bouleversante face à Fujita au Japon, nous montre une histoire parfois difficile et déchirante à regarder.