Un étudiant de 19 ans tue, la veille de Noël, plusieurs personnes qui lui sont totalement étrangères, avant de se suicider.
« Today in Greece, sun is sad my friend ». Propos qui me marque dans le train de nuit entre Athènes et Thessalonique. Mirage du soleil, désillusion d’un immigré arménien venu chercher une vie plus facile en Grèce dix ans plus tôt. J’ai pris la direction de la Grèce pour constater par moi-même ce que traversait ce peuple, loin des racourcis médiatiques qui me parvenaient en France. Je passais mes journées à déambuler à la suite d’inconnus que j’observais. Je faisais des rencontres, parlais avec les mains. Je découvrais aussi le Kaïmos et la force des chants de lutte. J’ai commencé à assembler les images quelques mois après mon retour. J’ai continué d’écrire sur cette ville ébranlée, sur ces récits de lutte. Voilà comment ce film est né.
1991 : la Guerre froide est terminée, l’URSS s’écroule. Sergeï, un cosmonaute russe reste coincé dans l’espace, oublié par les Soviétiques qui ont bien d’autres soucis sur Terre... À Cuba, à l’aide d’une fréquence radio, Sergio entre en contact par hasard avec Sergeï et va tout mettre en œuvre pour le ramener sur terre. Mais sans le savoir, Sergio est sur écoute et espionné…
Sur le point d’épouser la belle Arlena, une actrice, Horace Blatt lui a fait présent d’un bijou de grande valeur. Mais, la fiancée a rompu sa promesse et rendu le cadeau. Peu après, Blatt découvre qu’il n’a plus qu’un faux en sa possession. Hercule Poirot accepte de récupérer le vrai bijou. Il se rend donc sur la petite île de l’Adriatique où Arlena, devenue entre‐temps madame Marshall, doit bientôt séjourner. Il découvre dans son hôtel toute une collection de personnages plus ou moins insignifiants qui se connaissent et qui ont tous une bonne raison d’en vouloir mortellement à Arlena. Celle‐ci ne tarde pas, d’ailleurs, à être assassinée…