Voyage sur terre à l’échelle du centimètre. Ses habitants: insectes et autres animaux de l'herbe et de l'eau. Grand prix de la commission supérieure technique, Festival de Cannes 1996.
Sur une musique de Philip Glass se succèdent des images de nature, de vies sociales, d'individus, de paysages somptueux arrachés à la paix de la Création par des bulldozers, des brouillards de pollution... Ce film nous emmène dans des lieux situés aux quatre coins des États-Unis et nous montre le lourd tribut que la technologie moderne fait payer aux humains et à la planète. Ce poème visuel ne contient ni dialogue ni narration vocale : son ton est donné par la juxtaposition d'images et la musique exceptionnelle de Philip Glass.
Sans dialogue, «Baraka» est une réflexion sur l'histoire du monde à partir du seul langage universel existant: image, son et musique. Utilisant le format 70 mm, le réalisateur et son équipe ont parcouru le monde pendant quatorze mois, n'hésitant pas à aller dans les sites les plus reculés et les plus rares de la Terre.
Un montage visuel de notre monde contemporain dominé par la technologie globalisé et la violence.
Une exploration des pays en développement technologique et l'effet que la transition vers la modernisation de style occidental a eu sur eux.
« Chronos » a été tourné sur place à travers plus de soixante sites à travers le globe. Images d'une beauté naturelle importante, complexité de l'architecture, la sculpture historique emblématique et divers paysages urbains panoramiques ont été capturés sur film 70mm en utilisant le mouvement plutôt lents et de la cinématographie laps de temps. La structure narrative sans paroles de l'ouvrage essaie d'abord de transmettre des sentiments de respect et d'appréciation pour l'époustouflant sujet. En outre, elle suggère aussi des états d'anxiété importante vécue comme une conséquence de la rapidité et la complexité de la vie urbaine moderne.