La célèbre journaliste infiltrée Emanuelle fait équipe avec son amie Cora Norman pour découvrir un réseau d'esclaves blancs composé de femmes kidnappées dans divers endroits du monde. Ses investigations laissent cependant beaucoup de temps pour le globe-trotter et le saut au lit. Alors que chaque piste tourne mal, Emanuelle commence à se demander si elle pourra jamais mettre fin à cet horrible réseau d'esclavage.
Emanuelle continue de parcourir le monde pour en ramener des reportages inédits. Equipée de son pendentif, qui dissimule un petit appareil photo, et souvent habillée de lui seul, elle s'intéresse de près aux moeurs de ses contemporains. Elle commence par s'inquiéter de la vie quotidienne dans le harem que s'est constitué Eric Van Daren, et va y faire un tour. Son enquête la conduit ensuite à Venise. Elle est curieuse d'y découvrir comment une soirée mondaine peut dégénérer en vaste fête sexuelle. Aux Caraïbes, elle doit faire face à une réalité beaucoup plus violente et répugnante...
L'histoire narre l'arrivée dans une île prison d'une nouvelle détenue, rôle initialement tenu en 1968 par Maria Rohm, désormais interprétée par Lina Romay. Cette prison est tenue d'une main ferme par sa directrice (Monica Swinn), secondée par le bon docteur Costa (Paul Muller) et sous la protection du fringuant gouverneur local (Roger Darton). Emprisonnée pour avoir tué son père incestueux (Jesús Franco), Maria va très vite subir les pires outrages et autres sévices sexuelles. La jeune femme, aidée par la codétenue Bertha (Martine Stedil), décide de s'évader et de quitter cet enfer carcéral...
Les aventures d'Ilsa la tigresse dans le goulag nø 14 ou les prisonniers politiques sont traites sans pitie. On la retrouve quelques annees plus tart a l'Ouest recyclee dans la prostitution.
Durant la seconde guerre mondiale, deux femmes espionnes de l'armée américaine décident d'infiltrer un camp allemand, disons un peu spécial, en l'occurrence le numéro 7. En effet, dans ce camp d'amour, les prisonnières sont prostituées pour les officiers amateurs de fesses.
Avec Maman que man, Lionel Soukaz nous transporte dans un tourbillon d’expériences, de sensations, d’émotions et de fulgurances : si la mère manque (que man en verlan), elle ne cesse de brûler (quemar en espagnol), comme une piéta précieuse.