Adolescent violent, Carlin arrive dans une maison de redressement où il doit subir les provocations de ses codétenus et les humiliations des gardiens.
Munich, 1943. Tandis que Hitler mène une guerre dévastatrice à travers l'Europe, un groupe d'étudiants forme un mouvement de résistance, La Rose Blanche, appelant à la chute du IIIème Reich. D'obédience pacifique, ces membres propagent des tracts antinazis, couvrant les murs de la ville de slogans, et invitent la jeunesse du pays à se mobiliser. Le 18 février, Hans Scholl et sa sœur Sophie - qui font partie du noyau dur du mouvement - sont aperçus par le concierge de l'université de Munich en train de jeter des centaines de tracts du haut du deuxième étage donnant sur le hall. Ils sont immédiatement appréhendés par la Gestapo et emprisonnés à Stadelheim. Durant les jours suivants, l'interrogatoire de Sophie Scholl est mené par l'agent de la Gestapo Robert Mohr. Un véritable duel psychologique s'engage...
Elizabeth Bennet, 20 ans, est la seconde fille de Mr et Mrs Bennet. Elle grandit aux cotés de ses quatre autres sœurs et affectionne particulièrement Jane, de deux ans son aînée. Cette dernière est réputée pour sa douceur et sa beauté dans toute la ville de Meryton. Elizabeth, quant à elle, est une jeune fille ravissante, vive d’esprit, aimant observer la société dans laquelle elle évolue mais aimant surtout se moquer des sottises d’autrui. La famille Bennet est simple et très liée, faisant fi de certaines convenances exigée par l’étiquette à l’époque de Jane Austen. Mrs Bennet n’a qu’une idée en tête : marier ses cinq filles afin d’assurer leur avenir ainsi que celui de toute la famille.
Après la mort de son père et quinze ans d'absence, Alice revient dans son Yorkshire natal réclamer la ferme familiale qui lui était promise. Mais son frère Joe, usé par les années à s'occuper de l'exploitation et de leur père malade, estime que la propriété lui revient. Malgré les trahisons et les blessures du passé, Alice va tenter de reconstruire leur relation et sauver la ferme.
En 1585, Elizabeth Ière règne sur l'Angleterre depuis près de trente ans. Le vent destructeur du catholicisme fondamentaliste souffle sur l'Europe, sous la conduite de Philippe II d'Espagne. Soutenu par l'Eglise de Rome, le roi dispose d'une armée puissante et d'une Armada qui domine les mers. Philippe II est déterminé à renverser la reine "hérétique" et à ramener l'Angleterre au sein de l'Église romaine catholique.Elizabeth se prépare à la guerre contre l'Espagne mais doit aussi mener un combat plus intime contre ses sentiments pour Walter Raleigh, pirate au service de Sa Majesté.L'amour étant interdit à une souveraine vouée corps et âme à son pays, la reine encourage sa dame d'honneur préférée, Bess, à se rapprocher de Raleigh. Elizabeth observe l'idylle naissante.
Le dimanche 30 janvier 1972, à Derry, en Irlande du Nord, Ivan Cooper est l'organisateur d'une marche pacifique pour l'égalité des droits entre catholiques et protestants, farouchement déterminés à éviter toute violence entre les différents protagonistes. Mais malgré son dialogue avec les autorités unionistes et ses tentatives de négociation avec les forces de l'ordre britanniques, la manifestation se transforme en émeute : treize personnes sont tuées par l'armée. Cette journée, désormais inscrite dans l'Histoire sous le nom de Bloody Sunday, marque le début de la guerre civile.
Un jeune homme arrive à la maison et trouve son père en train de réparer la voiture et sa mère en train de cuisiner, comme d'habitude. Dans cet environnement morne et déprimant, le fils imagine une cuisine de rêve luxueuse, dans laquelle il trouve le courage d'annoncer à ses parents étonnés la bonne nouvelle : "Je suis gay". Mais, trop vite, son conte de fées prend fin...
Varsovie, au mois d’octobre 1939. Un jeune pianiste juif, Wladyslaw Szpilman, est enfermé dans le ghetto avec sa famille. Il assiste, impuissant, aux humiliations que subissent quotidiennement les siens. Grâce à une aide extérieure, il échappe de justesse à la déportation mais voit partir toute sa famille. Le jeune homme se cache alors dans les maisons vides et observe passivement les derniers habitants se révolter contre l’occupation allemande. Après avoir réussi à s’échapper miraculeusement, il se terre dans des quartiers détruits et tente de survivre, ce qui s’avère de plus en plus dur. C’est alors qu’il rencontre un nazi mélomane…
Évocation des années de guerre d’Oskar Schindler, fils d’industriel d’origine autrichienne rentré à Cracovie en 1939 avec les troupes allemandes. Il va, tout au long de la guerre, protéger des juifs en les faisant travailler dans sa fabrique et en 1944 sauver 800 hommes et 300 femmes du camp d’extermination d’Auschwitz‐Birkenau.