Rwanda, 1994. Le film raconte, jour après jour, la vie d'une famille rwandaise. Le mari est hutu, la femme et les deux enfants tutsi. Lors de la mort du président, tous les hommes hutu sont réquisitionnés pour éradiquer la population tutsi. Parmi eux Augustin Muganza, un hutu modéré, et son frère Honoré, animateur de la tristement célèbre Radio Télévision Libre des Mille Collines.
En 1947 un jeune couple d'Americains, Port Moresby et Kit, partent pour l'Afrique à la recherche de leur amour que la civilisation d'après-guerre perturbe. Pour Bertolucci le livre de Bowles "raconte une belle histoire d'amour, une histoire d'amour banale entre deux personnes très compliquées qui s'adorent mais ne peuvent pas trouver le bonheur ensemble".
Durant la Seconde Guerre mondiale, dans un camp disciplinaire britannique en plein désert de Libye, se dresse une colline artificielle construite par les prisonniers qui doivent en outre la monter et descendre sous le soleil, surveillés par le sergent Williams qui s'en délecte…
Les destins d'enfants issus des quatre coins du monde vus par les plus grands réalisateurs. Sept vies contrariées, sept enfances mal aimées ou maltraitées comme autant de témoignages et de prises de conscience de la part des adultes...
Nonnie Parker, une jeune fille, vit avec ses parents dans une ferme en Afrique du Sud. Elle fait la connaissance de Harry Winslow, un jeune garçon venu de avec ses parents. Le drame va surgir dans la ferme de la famille Parker, lorsque les parents de Nonnie et de Harry sont tués par des chasseurs d'ivoire, rendent ainsi les deux enfants orphelins. Aussitôt traqués par ces braconniers et loin des villes, Nonnie et Harry vont devoir traverser plus de 2000 km de désert dans le Kalahari avec l'aide de Xhabbo, un Bochiman.
Quand Essemba Tourneur, cinéaste maudit chassé d’Europe rentre au pays, tout semble bouleversé. Il découvre avec stupeur que la vieille salle de cinéma est occupée par une bande de jeunes malfrats dirigée par un africain surnommé «Cinéma», qui consomme à longueur de temps des films américains. Essemba décide de récupérer les lieux pour y projeter des films africains et rebaptise la salle «Héritage cinéma». De leur côté, les voyous expulsés de la ville et privés de films, s’ennuient. Ils décident alors de dévaliser la salle d’Essemba et d’ouvrir un cinéma de fortune au village où ils ont trouvé refuge. Leur butin n’est malheureusement constitué que de films africains. La mort dans l’âme, ils les projettent aux villageois, qui les adorent. Essemba décide de récupérer ses films et de régler ses comptes avec Cinéma et son gang, glissant ainsi malgré lui dans une véritable fiction, à l’américaine. Un film qui fait son cinéma et qui parle du cinéma.