THE GREAT GREEN WALL est Le projet ambitieux de faire pousser un mur d'arbres de 8 000 km s'étendant du Sénégal à l'Ethiopie. Cette ceinture doit lutter contre la désertification progressive de la région due aux changements climatiques mais également d'éviter les conflits croissants et les migrations massives. La musicienne malienne Inna Modja nous accompagne dans ce voyage musico-écologique le long de cette grande muraille verte et nous aide à comprendre ce qui n'est plus uniquement un enjeu africain mais mondial !
Ce documentaire s'intéresse à des élèves et des professeurs des classes de première année et de dernière année du primaire. C'est à travers leurs yeux, qu'est révélé le système japonais basé sur "l'empowerment" des élèves, leur mise en responsabilité sur des tâches collectives et l'accompagnement des élèves de première année par ceux de dernière année.
Ce sont les premières images tournées dans les maquis de l'ALN, caméra au poing, à la fin de l'année 1956 et en 1957. Ces images de guerre prises dans les Aurès-Nementchas sont destinées à être la base d'un dialogue entre français et algériens pour la paix en Algérie, en montrant l'existence d'une organisation armée proche du peuple. Trois versions d'Algérie en flammes sont réalisées : française, allemande et arabe. Dès la fin du montage, le film circule sans aucune coupure à travers le monde, excepté en France où la première projection a lieu en Sorbonne occupée en 1968. Certaines images du film ont circulé et se retrouvent dans des films, notamment des films algériens. À cause de l’émoi provoqué par ce film, il est obligé de passer dans la clandestinité pendant 25 mois. Après la déclaration d’indépendance, il fonde le premier Centre Audiovisuel Algérien.