À travers l'épopée à la fois comique et horrible vers Las Vegas du journaliste Raoul Duke et de son énorme avocat, le Dr. Gonzo, évocation caustique et brillante de l'année 1971 aux États-Unis, pendant laquelle les espoirs des années soixante et le fameux rêve américain furent balayés pour laisser la place à un cynisme plus politiquement correct.
Ellie Andrews, jeune fille gâtée, échappe à l'emprise de son père millionnaire qui veut à tout prix l'empêcher d'épouser un play boy sans avenir. En route pour New York, elle rencontre Peter Warner, journaliste au chômage. Mais le bus tombe en panne et le couple impromptu se lance dans une folle randonnée improvisée.
Après avoir tué son adversaire au cours d'un combat, un boxeur décide de rentrer dans son pays natal, l'Irlande. Il épouse Mary-Jane Danaher malgré le frère de sa belle, opposé à ce mariage.
Le couple formé par Jan et Katrin est issu d'un heureux accident. Jan, avocat, rencontre Katrin, éditrice, à l'occasion d'un léger accident de voiture. Pendant ce temps, Melanie, la petite amie de Jan, tombe amoureuse de Rüdiger, meilleur ami de l'avocat. S'ils vivent un coup de foudre immédiat, l'histoire de Jan et Katrin commence par une dispute avant de se transformer en un tendre amour. Quelques années plus tard, tandis que Melanie et Rüdiger coulent des jours paisibles, la vie de couple de Jan est Katrin s'avère bien plus mouvementée.
Pour échapper à la colère des pigeons qu'il a plumés, un sympathique escroc déguisé en militaire saute en voltige à bord d'un train où il va se trouver malgré lui plongé dans une aventure loufoque. Car dans ce train se trouve aussi un cercueil bourré de cinq millions de dollars qui intêresse fort toute une bande de foldingues.
Bucsu est un contrôleur du métro de Budapest qui passe ses jours et ses nuits à errer dans les couloirs. Refusant de remonter à la surface, il se heurte au mépris et à la violence des usagers et de ses collègues.
Un jeune ténor du barreau gagne toutes les causes qu'il défend en mentant comme un arracheur de dents et en usant d'une mauvaise foi abyssale. Mais il est allé jusqu'à décevoir son propre fils qui, écœuré, conçoit le souhait qu'il soit incapable de mentir pendant vingt-quatre heures. Ce qui va entraîner catastrophe sur catastrophe mais finalement lui remettre les pieds sur terre.