Préoccupé par la construction d'une cathédrale, l'évêque Henry Brougham néglige sa famille. En réponse à l'une de ses prières, l'ange Dudley vient à son secours. Mais il tombe amoureux de la femme de l'évêque, Julia.
Edward n’est pas un garçon ordinaire. Création d’un inventeur, il a reçu un cœur pour aimer, un cerveau pour comprendre. Mais son concepteur est mort avant d’avoir pu terminer son œuvre et Edward se retrouve avec des lames de métal et des instruments tranchants en guise de doigts.
Deux ans ont passé, Vic, maintenant âgée de 15 ans (et 3 mois) entre en classe de seconde au lycée Henri IV. Ses amis aussi ont grandi. Cela fait maintenant un an qu'elle n'est pas "sortie" avec un garçon. Dans le train, en rentrant d'Autriche avec Poupette, lors du contrôle des Douanes, ce n'est pas son passeport qui lui est rendu, mais avec celui d'un Philippe Berthier, un jeune homme de 18 ans dont elle va vite en devenir amoureuse. François et Françoise évoluent dans leurs carrières respectives et des choix devront être faits...
Dans un café fréquenté par des travailleurs immigrés, Emmi, veuve d'une soixantaine d'années, fait la connaissance d'Ali, un Marocain plus jeune qu'elle. Ali s'installe chez elle dès le lendemain, puis ils se marient. Les enfants d'Emmi, ses voisins, ses collègues, tous sont scandalisés par cette union. Le couple est mis à l'écart, mais va vite se révéler indispensable à la communauté…
Will Freeman est un trentenaire londonien et un célibataire endurci. Vivant allègrement grâce aux droits d'auteur qu'il perçoit sur une chanson de Noël écrite par son père, il s'invente un fils pour draguer des mères célibataires.Un jour, il fait la connaissance de Marcus, un garçon de douze ans, fils de Fiona, hippie et végétarienne, et tête de Turc de l'école. Will et Marcus deviennent amis, et pendant que Will apprend à Marcus l'art d'être cool, Marcus apprend à Will l'art d'être... adulte.
Charlie, enfant issu d'une famille pauvre. Travaillant pour subvenir aux besoins des siens, il doit économiser chaque penny, et ne peut s'offrir les friandises dont raffolent les enfants de son âge. Pour obtenir son comptant de sucreries, il participe à un concours organisé par l'inquiétant Willy Wonka, le propriétaire de la fabrique de chocolat de la ville. Celui qui découvrira l'un des cinq tickets d'or que Wonka a caché dans les barres de chocolat de sa fabrication gagnera une vie de sucreries.
Un été à la mer. Miriam est une femme de 40 ans en vacances avec son mari, leur fils et une amie de ce dernier, Livia. L'adolescente de 12 ans fait la connaissance de Bill un quadragénaire qui semble attiré par la jeune fille. Inquiète, Miriam essaie d'empêcher une relation naissante entre les deux mais tombe elle-même amoureuse Bill.
La jeune Sissi accompagne à la cour impériale d’Autriche sa mère et sa sœur aînée Hélène promise au futur empereur. Comme à son habitude Sissi profite d’un moment en solitaire pour partir en promenade au cours de laquelle elle va rencontrer sans le savoir l’héritier impérial…
Sissi est maintenant l’impératrice d’Autriche‐Hongrie. Ce qui ne va pas sans heurts puisque sa nature spontanée et enjouée se retrouve confrontée aux rigueurs dues à son rang…
Sissi est habile non seulement avec les affaires d'État, mais aussi avec Sofía, sa belle-mère conflictuelle, qui profite de toute occasion pour inventer de faux romans entre Sissi et le comte Andrassy dans le but de rompre le mariage entre l'impératrice et son fils. Aux menaces de Sofia, il faut ajouter la grave maladie pulmonaire que Sissi contracte en Hongrie et qui la conduira en Grèce, où au bout d'un moment la jeune femme se remet heureusement de sa maladie.
Menacé de prison par l’huissier et de divorce par sa femme, Jaeckie Zucker compte sur une victoire à un tournoi de billard pour s’en sortir. Jusqu’au jour où il apprend le décès de sa mère. Son frère Samuel et sa famille s’apprêtent à débarquer à Berlin pour l’enterrer. Or, Jaeckie Zucker, de son vrai nom Jakob Zuckermann, ne veut rien avoir à faire avec eux. Mais c’est sans compter la dernière volonté de la défunte : ses fils n’hériteront qu’à condition de se réconcilier et d’observer, avec leurs familles, les sept jours de deuil traditionnels…