L'histoire vraie de l'homme d'affaires germano-tchèque Oskar Schindler (1908-74) racontée par certains des Juifs — plus d'un millier — dont il a sauvé la vie de l'extermination pendant la Seconde Guerre mondiale.
Album(s) d’Auschwitz raconte les histoires croisées de deux albums de photographies. Celui de Lili Jacob, une jeune fille juive rescapée, qui découvre l’album au camp de Dora en 1945. Ces photographies décrivent l’arrivée à Auschwitz, le 26 mai 1944, d'un convoi de juifs hongrois.
Le film fut à l’origine tourné avec une bande son en allemand pour être projeté dans l’Allemagne et l’Autriche occupées. Il s’agit du premier documentaire montrant ce que les Alliés découvrirent lorsqu’ils libérèrent les camps d’extermination nazi : les survivants, les conditions de vie, et la preuve d’un génocide. Le film fait état des aspects économiques de l’opération des camps. Des membres du personnel de ceux-ci, faits prisonniers, y sont interrogés. Et l’on y voit la visite forcée des habitants de villes voisines qui, de même que leurs compatriotes, sont accusés de complicité dans les crimes nazi – c’est l’une des rares condamnations de cette sorte enregistrées dans les archives alliées de la Seconde Guerre mondiale.
Le 23 novembre 1944, jour de la libération de Strasbourg, l'armée américaine pénètre dans le camp de Natzweiler-Struthof. Installé en Alsace, région annexée par l'Allemagne, il fut l'unique camp de concentration installé sur le territoire français, mais c'est l'un des témoins les plus tangibles de ce qui fut un enfer pour près de 50000 déportés venus de l'Europe entière et réduits à l'esclavage. Ce fut même l’un des camps avec le plus haut taux de mortalité de l’Allemagne nazie.