Durant la Seconde Guerre mondiale, les bombardements nazis visant à briser la Grande-Bretagne ont renforcé son unité. Ce documentaire percutant raconte la résilience d'une nation.
C'est l'histoire des dernières 48 heures du Führer du IIIe Reich. Raconté avec les mots de ceux qui étaient présents à ce moment-là, ce documentaire est constitué d'interviews exclusives de l'entourage d'Hitler, dont celles du leader des Jeunesses hitlériennes, Arthur Axmann, de la secrétaire particulière d'Hitler, Traudl Junge, et du baron Bernd Freytag von Loringhoven, qui l'ont accompagné durant ses derniers jours dans le bunker.
En mars de l'année 1941, le docteur Julius Hallervorden spécialiste des maladies du cerveau rencontre des responsables de l'opération T4 chargés par Hitler de l'extermination des handicapés mentaux. Son objectif : récupérer les cerveaux des victimes présentant certaines pathologies pour « faire avancer la science ». Le médecin a récupéré 690 cerveaux de victimes pour ses recherches médicales personnelles sur les pathologies mentales. Malgré cela, Julius Hallervorden a poursuivi une brillante carrière après guerre, sans jamais être inquiété. Le parcours de ce médecin est intimement lié à celui de l'opération dite « T4 », consistant à éliminer les handicapés physiques et mentaux et les personnes considérées comme inutiles et « asociales » par le régime nazi. Ce film documentaire raconte pour la première fois toutes les étapes de l'extermination des handicapés entre 1939 et 1945 dans l'Allemagne nazie.
Mythique cité du cinéma italien, souvent appelée « La fabbrica dei sogni « (la fabrique des rêves), Cinecittà se situe dans un quartier populaire du sud-est de Rome. Westerns, films antiques, séries télévisées, grosses productions américaines, classiques italiens : les studios ont vu défiler des milliers de films. L'idée de sa naissance émerge en 1930 : le gouvernement italien fasciste sous le joug de Mussolini souhaite industrialiser le cinéma italien afin de concurrencer le succès et le quasi-monopole d'Hollywood. Mais les studios de Cinecittà représentent surtout une importante machine de propagande fasciste.
Les victimes d'Hiroshima et Nagasaki racontent. Les bourreaux aussi.