Wallace et son chien Gromit se lancent dans la boulangerie ! Mais, après l'ouverture de leur commerce, un mystérieux tueur prend pour cible les boulangers de la ville. Les deux amis sont dans un sacré pétrin : Wallace étant tombé sous le charme de l'égérie des publicités pour les pains Bake-O-Lite, Gromit va devoir résoudre cette affaire tout seul.
Un hommage à Mallarmé qui non seulement affirme la pertinence de son œuvre, mais confronte également ses ambiguïtés littéraires à ses propres ambiguïtés politiques et cinématographiques. Dans ses grandes lignes, le film ne pourrait être plus simple : il propose une récitation de l'un des poèmes les plus célèbres et les plus complexes de Mallarmé (il s'agit de sa dernière œuvre publiée de son vivant, parue en 1897, un an avant sa mort) et propose un équivalent cinématographique à l'expérience originale de l'auteur en matière de typographie et de mise en page en attribuant les mots à neuf locuteurs différents, en séparant chaque locuteur au fur et à mesure qu'il parle et en utilisant de légères pauses pour correspondre aux espaces blancs sur la page d'origine.
Un jour, un homme surgit de nulle part dans la gare centrale de New York. L'air avenant, les yeux dissimulés derrière d'épaisses lunettes noires, cet inconnu prétend être originaire d'une planète lointaine : K-Pax. Sourire aux lèvres, il se laisse embarquer sans résistance par la police, qui le conduit à la clinique psychiatrique de Manhattan. Le docteur Mark Powell, directeur de l'établissement, est un habitué des cas de dédoublement de personnalité. Mais le patient Prot l'intrigue et il veut en savoir davantage sur cet homme aux affirmations loufoques. Ce dernier s'accroche obstinément à son délire et brosse à qui veut l'entendre un tableau idyllique de K-Pax, ses mœurs pacifiques et son haut niveau culturel. Au fur et à mesure de ses entretiens, le docteur Powell en vient à se demander s'il n'y aurait pas un fond de vérité dans ses histoires d'extraterrestres.
En 1945, le correspondant de guerre américain Jake Geismer débarque à Berlin pour couvrir la conférence de Postdam où les Alliés décideront du sort de l'Allemagne vaincue, parleront de l'avenir de l'Europe… et se disputeront âprement les restes du gâteau. Quelques années plus tôt, Jake dirigeait une agence de presse à Berlin et eut dans cette ville une liaison avec la belle Lena, mais tout cela semble bien éloigné, car la guerre a souillé, meurtri et ravagé ce que chacun avait de plus de cher. Le chauffeur de Geismer, le caporal Tully, est l'un de ces profiteurs, rompus à toutes les combines, livrant dans chaque secteur de Berlin petits secrets et produits de contrebande. Plus triste, il est devenu l'amant de Lena. Lorsque Tully se fait tuer dans le secteur russe, en possession de 100 000 marks, Jake est aussi surpris que choqué de voir les Américains et les Russes classer l'affaire en un clin d'œil. Il décide d'élucider cette mort mystérieuse.
La vie n'est pas tendre avec Slevin. En quelques jours, ce jeune homme a perdu son appartement, découvert que sa petite amie le trompait, et s'est fait voler ses papiers. Décidé à souffler un peu, Slevin s'envole vers New York, où il va habiter quelque temps l'appartement d'un copain, Nick Fisher. La poisse ne va pas le lâcher pour autant, bien au contraire...Le milieu new-yorkais est en ébullition. Deux de ses plus grands parrains, le Rabbin et le Boss, se livrent une guerre sans pitié. Autrefois complices, ils sont devenus les pires ennemis. Pour venger l'assassinat de son fils, le Boss est décidé à faire tuer celui du Rabbin. Il a chargé Goodkat de l'affaire. Celui-ci a un plan très simple : trouver quelqu'un qui doit énormément d'argent au Boss et l'obliger à exécuter la besogne en échange d'une annulation de dette. Le candidat idéal est... Nick Fisher...
Amélie, une jeune serveuse dans un bar de Montmartre, passe son temps à observer les gens et à laisser son imagination divaguer. Elle s'est fixée un but : faire le bien de ceux qui l'entourent. Elle invente alors des stratagèmes pour intervenir incognito dans leur existence. Le chemin d'Amélie est jalonné de rencontres: Georgette, la buraliste hypocondriaque, Lucien, le commis d'épicerie, Madeleine Wallace, la concierge portée sur le porto et les chiens empaillés, ou encore Raymond Dufayel alias « l'homme de verre », son voisin qui ne vit qu'à travers une reproduction d'un tableau de Renoir. Cette quête du bonheur amène Amélie à faire la connaissance de Nino Quincampoix, un étrange « prince charmant ». Celui-ci partage son temps entre un train fantôme et un sex-shop, et cherche à identifier un inconnu dont la photo réapparaît sans cesse dans plusieurs cabines de photomaton.
Deux exquises vieilles dames font disparaître de vieux messieurs. Mortimer, leur neveu, découvre l'affaire. Mais, l'affaire se corse pour lui quand il découvre que ses cousins, l'un gentil, l'autre méchant, sont également mêlés à l'histoire et que les cadavres s'amoncellent dans la cave.
L'histoire d'un couple de yuppies, les Rose, qui, après une existence qu'ils pensaient heureuse et confortable, se retournent tout à coup l'un contre l'autre, n’omettant aucune bassesse pour se détruire, jusqu'à l'apaisement et la conquête de l'instant de bonheur final.
Sam Wheat, cadre dans une banque d'affaires new-yorkaise, et Molly Jensen, sculpteur, s'aiment. Mais tout bascule lorsque Sam Wheat est agressé dans la rue et abattu. À sa grande surprise, il devient un fantôme et réussit à communiquer avec une voyante hystérique. Il tente alors d'entrer en contact avec sa femme et découvre qui l'a assassiné.
Antoine tombe amoureux de Colette, mais elle le traite en copain. Deuxième volet du cycle Antoine Doinel initié avec le film Les 400 Coups.
Une nuit, Reine, jeune personne solitaire voit dans le chaos urbain un mouvement vivant et brillant, une sorte de guide.