Chaque année, la période estivale voit éclore un tube de l'été, léger, endiablé, romantique, exotique, sensuel ou rigolo. Ces chansons viennent de France ou ont traversé les mers et les frontières. Elles font surgir des souvenirs et s'inscrivent dans le patrimoine collectif. Et surtout elles en disent long sur l'évolution de notre société, dont elles sont le reflet. Voyage dans la mémoire collective, au travers d'images d'archives et de témoignages.
Le Cerveau d'Hugo est un documentaire-fiction français réalisé par Sophie Révil en 2012, portant sur l'autisme. Il croise des témoignages d'authentiques autistes avec une fiction retraçant la vie d'un autiste, Hugo, depuis l'enfance jusqu'à l'âge adulte, en dépeignant les difficultés qu'il rencontre ainsi que son entourage. Le rôle d'Hugo est tenu par l'acteur Thomas Coumans. Ce documentaire prend sa place dans une évolution de la vision portée sur l'autisme, aussi bien par les professionnels de santé que par l'ensemble de la population, et où le rôle de causes biologiques est de plus en plus mis en avant par la Haute Autorité de santé, au détriment d'une approche purement psychanalytique jusque-là dominante en France.
Quand Stephen KING, le maître de l’horreur, le romancier le plus lu au monde actuellement, ouvre grandes les portes de sa vidéothèque, cela donne THIS IS HORROR une anthologie unique des grandes scènes du cinéma fantastique, présentée par le King himself, entouré de personnalités telles que Wes Craven (Les griffes de la nuit), Brian Yuzna (Re-Animator 2). Deux cassettes où l’on se fait peur, où l’on s’amuse, et où l’on s’amuse à se faire peur.
Ce travail de citoyen et d’espion, d’explorateur et de peintre, de chroniqueur et d’aventurier qu’ont si bien décrit tant d’auteurs, de Casanova à Gilles Perrault, n’est-ce pas une belle définition du métier de cinéaste que l’on a envie d’appliquer à Renoir, à Becker, au Vigo de l’Atalante, à Duvivier, aussi bien qu’à Truffaut ou Demy. A Max Ophuls et aussi à Bresson. Et à des metteurs en scène moins connus, Grangier, Gréville ou encore Sacha, qui, au détour d’une scène ou d’un film, illuminent une émotion, débusquent des vérités surprenantes. Je voudrais que ce film soit un acte de gratitude envers tous ceux, cinéastes, scénaristes, acteurs et musiciens qui ont surgi dans ma vie. La mémoire réchauffe : ce film, c’est un peu de charbon pour les nuits d’hiver.
Michelle Martin, Monique Olivier, Karla Homolka ont partagé la vie de redoutables prédateurs pédophiles en toute connaissance de cause et ont même, parfois, participé à leurs crimes. Elles ont toutes en commun de se présenter comme des victimes, mais les experts qui témoignent dans ce reportage sont loin de partager cette vision.