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George Abitbol, l'homme le plus classe du monde, meurt tragiquement lors d'une croisière. Dans un dernier souffle, il murmure : « Monde de merde ». Pourquoi ? Ces mots intriguent le rédacteur en chef d'un quotidien américain. Il dépêche ses trois meilleurs enquêteurs, Dave, Peter et Steven, pour éclaircir ce mystère.

Des interviews de célébrités qu'il a côtoyées, des extraits de ses spectacles, des films et des séries dans lesquels il a tourné retracent la vie de Mister Bean, alias Rowan Atkinson. C'est en 1977 que le comédien connaît son premier succès, sur la scène d'Edimbourg. L'année suivante, il monte sa propre revue puis participe à la création d'une émission comique, "Not the Nine O'Clock News". En 1990, avec la complicité de Richard Curtis et Robin Driscoll, il crée Mister Bean, personnage excentrique et maladroit. La série télévisée connaît un immense succès en Grande-Bretagne, avant de s'exporter dans une centaine de pays. Mais la carrière de Rowan Atkinson ne se résume pas à Bean.

Il y a 55 ans, le 1er octobre 1968, le 1er spot de publicité de marque débarque sur le petit écran des Français. C’est la naissance de « L’Âge d’Or de la Pub » ! Durant 3 décennies, des milliers de petits films créatifs vont chercher à nous séduire et construire notre mémoire collective. La Pub nous ressemblait, elle nous rassemblait. A travers des spots kitchs ou cultes, humour, slogans, musiques, stars, gimmicks, grand spectacle ou sex-appeal : nous allons vous révéler comment la pub s’y prenait pour nous convaincre. Catherine Deneuve, la Mère Denis, Ridley Scott, Gérard Depardieu, Don Patillo, Etienne Chatillez, Monsieur Propre, Jean-Paul Goude, Pelé, Myriam, Richard Gotainer, le Cow-boy Marlboro, Jean- Jacques Annaud, l’Ami Ricoré, Carlos, Alain Chabat, Isabelle Adjani, le Lapin Duracell : ils sont tous là ! Et bien d’autres… Près de 400 films, véritables madeleines à déguster, réunis pour la 1ère fois et racontés par Thierry Ardisson, pour revivre « L’Âge d’Or de la Pub » !

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le photographe Francisco Boix et d'autres prisonniers républicains espagnols du camp de concentration de Mauthausen, où 120 000 personnes sont mortes, ont réussi non seulement à survivre à leur expérience indescriptible, mais aussi, après la guerre, à révéler au monde ce qui s'est réellement passé dans cet enfer, en sauvant de la destruction des milliers de photographies officielles prises par les SS.

Une grande figure médiatique partage ses souvenirs tout en évoquant l'évolution de la vie sur Terre, l'insupportable recul de la nature et sa vision de l'avenir.