Des lettres d'un caméraman-voyageur, Sandor Krasna, lues par une femme. Attiré par les deux « pôles extrêmes de la survie », le Japon et l'Afrique, il s'interroge sur la représentation du monde dont il est en permanence l'artisan, et le rôle de la mémoire qu'il contribue à forger.
La première partie d'Olympia, un documentaire sur les Jeux olympiques de 1936 à Berlin, réalisé par la réalisatrice allemande Leni Riefenstahl. Le film a été projeté dans les salles en 1938 et à nouveau en 1952 après la chute du régime nazi.
Ce film nous montre une journée à Berlin, au rythme de cette époque, commençant au petit matin et se terminant dans la nuit la plus profonde
Sans dialogue, «Baraka» est une réflexion sur l'histoire du monde à partir du seul langage universel existant: image, son et musique. Utilisant le format 70 mm, le réalisateur et son équipe ont parcouru le monde pendant quatorze mois, n'hésitant pas à aller dans les sites les plus reculés et les plus rares de la Terre.
Sur une musique de Philip Glass se succèdent des images de nature, de vies sociales, d'individus, de paysages somptueux arrachés à la paix de la Création par des bulldozers, des brouillards de pollution... Ce film nous emmène dans des lieux situés aux quatre coins des États-Unis et nous montre le lourd tribut que la technologie moderne fait payer aux humains et à la planète. Ce poème visuel ne contient ni dialogue ni narration vocale : son ton est donné par la juxtaposition d'images et la musique exceptionnelle de Philip Glass.
L'évolution de la championne de skateboard australienne Poppy Starr Olsen, détentrice de plusieurs titres mondiaux, et sa préparation pour les Jeux olympiques de Tokyo.