Dans le Japon en guerre, le jeune Gen Nakaoka et sa famille survivent, tant bien que mal, entre la faim et les persécutions dues au pacifisme militant du père, dans une ville curieusement épargnée par les bombardements, jusqu’au matin du 6 août 1945, lorsque l’enfer nucléaire se déchaîne soudain sur Hiroshima…
Dans les années 70, l'Allemagne est la proie d'attentats à la bombe meurtriers. La menace terroriste et la peur de l'ennemi intérieur ébranlent les fondements mêmes d'une démocratie encore fragile. Sous la conduite d'Andreas Baader, Ulrike Meinhof et Gudrun Ensslin, une nouvelle génération radicalisée entre violemment en guerre contre ce qu'ils perçoivent comme le nouveau visage du fascisme : l'impérialisme américain soutenu par les membres de l'establishment allemand, dont certains ont un passé de nazi. Leur objectif est de créer une société plus humaine. Mais en employant des moyens inhumains, en répandant la terreur et en faisant couler le sang, ils perdent leur propre humanité. L'homme qui les comprend est aussi celui qui les pourchasse : le chef de la police allemande, Horst Herold. Et même s'il réussit à capturer les jeunes terroristes, Herold sait qu'il ne s'agit que de la partie émergée de l'iceberg...
Alors que les journaux télévisés et la radio font allusion à une intervention armée des Soviétiques en Allemagne de l’Est, la vie quotidienne de citoyens américains habitant de Lawrence et de Kansas City est sur le point d'être bouleversée ! Une guerre nucléaire est sur le point d'éclater.
En 1961, en pleine guerre froide, les Américains déploient des sous-marins nucléaires à portée de Léningrad et Moscou. Pour contrer cette menace, les Russes terminent la construction du sous-marin lance-missiles K-19. L'équipage est soumis à un rude entraînement imposé par le commandant Vostrikov. Les relations de ce dernier avec son second, Polenin, sont mauvaises. Près des côtes américaines, le sous-marin subit une très grave avarie. Coupés du monde, Vostrikov et ses hommes doivent affronter une fuite dans la zone du réacteur avec des moyens dérisoires.
Le 26 avril 1986, après l’explosion de Tchernobyl, un nuage radioactif hautement toxique se déplace vers le reste de l’Europe. Le 1ᵉʳ mai, après avoir survolé le Sud-Est de la France et la Corse, le nuage recouvre les trois quarts du territoire français. Les autorités françaises affirment pourtant qu’il s’est arrêté à nos frontières. Retour sur l’un des plus gros mensonges du gouvernement français envers sa population.
Histoire basée sur un fait réel, celle de Karl Koch, jeune pirate informatique de dix-neuf ans. Fascine par Hagbard Céline, personnage d'un roman, il fait preuve d'un talent sans faille pour accéder aux réseaux informatiques mondiaux pour les pirater. C'est ainsi que, courtise par le KGB, il en devient un agent. Mais, intoxique à la cocaïne, il souffre de plus en plus d'hallucinations et perd peu a peu le sens des réalités.
35 ans après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, retour sur l'incroyable bataille menée par l'Union Soviétique contre les radiations. C’est une histoire hors norme avec ses héros, ses traîtres et ses mensonges. Ce film en explore les enjeux historiques à moyen et long terme.
Kimberley Wells, une journaliste employée par la chaîne de télévision américaine KXLA, tourne un documentaire à la centrale nucléaire « Ventana » de Los Angeles. Au cours de la visite, et alors que Kimberley, accompagnée de son cadreur et de son preneur de son, observe la salle des opérations de la centrale, les visiteurs deviennent les témoins d'un incident nucléaire, voyant comment le personnel de la salle s'active pour tenter d'en venir à bout. Le cadreur de Kimberley, Richard Adams, filme secrètement l'incident. Adams montre ensuite les images à un ingénieur nucléaire extérieur, qui confirme la réalité de l'évènement et son caractère potentiellement dangereux. C'est à ce moment qu'est évoquée la notion de « syndrome chinois ». Mais la chaîne qui emploie Kimberley, pour des raisons légales refuse de diffuser le reportage. Par ailleurs, l'enquête diligentée sur l'incident est favorable à la société qui gère la centrale.