Trente ans après la sortie de son film « JFK » (1991), le cinéaste Oliver Stone passe en revue les preuves récemment déclassifiées de l'assassinat du président John F. Kennedy, qui a eu lieu à Dallas le 22 novembre 1963.
Émission de radio, puis journal, « Salut les copains » reflète la jeunesse française éprise de liberté de la génération des « baby boomers » qui va inventer ses expressions, sa mode, sa musique, et par là même inventer la pop culture française. L'émission a propulsé les stars de l'époque, véritables icônes des années yéyé : Johnny Hallyday, Claude François, Dick Rivers avec Les Chats Sauvages, Eddy Mitchell avec Les Chaussettes Noires, Sylvie Vartan, France Gall. Ce documentaire est raconté par ceux qui font partie de la « génération Salut les copains » : Françoise Hardy, Sheila, Christophe, Dani, Alain Chamfort, Stone, Dave et Julien Clerc.
Retraçant fidèlement le climat politique et social de San Francisco dans les années 70, The Times of Harvey Milk constitue un portrait réussi et passionnant de ce qui fut vraiment perdu lorsque Harvey Milk, conseiller municipal de San Francisco, et le maire George Moscone furent brutalement assassinés en novembre 1978 par un autre conseiller municipal : Dan White. Fascinant du début à la fin, The Times of Harvey Milk reste toujours autant d'actualité qu'en 1984 lorsqu'il remporta l'Oscar.
Jeux Olympiques de Munich 1972. 121 nations, 7 123 athlètes. Pour la première fois, les chaînes de télévision du monde entier sont là pour retransmettre en direct l'évènement. Des millions de spectateurs découvrent bientôt l'impensable : un groupe de terroristes palestiniens vient de prendre en otage onze athlètes israéliens et exige la libération de 200 prisonniers politiques. Démarre alors un infernal compte à rebours... 30 ans plus tard, de nombreux témoins, dont l'un des terroristes rescapés, éclairent d'une lumière nouvelle cet évènement.
« Toute la vie des sociétés dans lesquelles règnent les conditions modernes de production s'annonce comme une immense accumulation de spectacles. » (première phrase de La Société du Spectacle)
Ari, a rendez-vous en pleine nuit dans un bar avec un ami en proie à des cauchemars récurrents, au cours desquels il se retrouve systématiquement pourchassé par une meute de 26 chiens. 26, exactement le nombre de chiens qu'il a dû tuer au cours de la guerre du Liban, au début des années 80. Le lendemain, Ari, pour la première fois, retrouve un souvenir de cette période de sa vie. Une image muette, lancinante : lui-même, jeune soldat, se baigne devant Beyrouth avec deux camarades. Il éprouve alors un besoin vital de découvrir la vérité à propos de cette fraction d'Histoire et de lui-même et décide, pour y parvenir, d'aller interviewer à travers le monde quelques-uns de ses anciens compagnons d'armes. Plus Ari s'enfoncera à l'intérieur de sa mémoire, plus les images oubliées referont surface.