Haida Gwaii, un archipel au large de la côte ouest du Canada, est le foyer de Skil Jaadee et de sa famille. Ils vivent en harmonie avec la nature et se sont donné pour mission de sauvegarder leur langue et de préserver leur histoire.
Un voyage à la découverte des initiatives pour préserver la survie des écosystèmes marins du Pacifique. Avec des images à couper le souffle, une ode cinématographique aux océans doublée d’une plongée choc dans un univers en péril.
En 1995, alors qu'il préparait son film, James Cameron effectua une plongée sur l'épave du plus luxueux paquebot du monde, engloutie par plus de 4 000 mètres de profondeur. La vision de cet immense vaisseau le bouleversa. Le naufrage n'était plus pour lui un mythe, mais une réalité tangible, effrayante, fascinante. Pendant quelques précieuses minutes, à bord d'un batiscaphe expérimental, il put longer les ponts et la coque du géant des mers qui sombra lors de son voyage inaugural dans la nuit du 14 avril 1912, au sud de Terre-Neuve. Plus de 1 500 personnes disparurent dans la catastrophe. En remontant à la surface, James Cameron n'était plus tout à fait le même.
À travers un groupe de cyclistes "classiques" et leur intérêt commun pour le vélo classique, nous découvrirons des valeurs qui se perdent dans notre société moderne telles que l'importance de l'amitié, l'écologie, la valorisation de l'ancien, le minimalisme et d'autres prémisses importantes à atteindre une vie plus heureuse, plus simple et plus épanouie avec ce qui compte vraiment.
"Je dis souvent que la sociologie, c'est un sport de combat, c'est un instrument de self-défense. On s'en sert pour se défendre, essentiellement, et on n'a pas le droit de s'en servir pour faire des mauvais coups." - Pierre Bourdieu. Il y a les témoins du monde, ceux qui disent tout haut ce qu'on pense plus bas, ni gourous, ni maîtres, mais qui considèrent que la cité, le monde, peuvent être pensés. Le sociologue Pierre Bourdieu est de ceux-là. Pendant trois ans, la caméra de Pierre Carles l'a suivi dans des situations d'échanges différentes : partager quelques minutes d'entretien avec Günter Grass, assister à une conférence animée avec les habitants d'une banlieue ouvrière, suivre ses rapports avec ses étudiants, ses collaborateurs, plaidant pour une sociologie inscrite dans la cité. C'est une pensée qui se déploie comme familière, à côté de nous, et toujours abordable, celle d'un intellectuel français qui choisit de penser son temps.
Il y a seulement cent cinquante ans, Tokyo, la plus grande ville du monde, symbole d'une modernité urbaine futuriste, était encore Edo, une ville aux constructions de bois, centre du pouvoir du Japon des samouraïs. Tokyo a été détruite deux fois au cours du vingtième siècle, par un terrible tremblement de terre en 1923 et par les bombardements incendiaires de 1945. Elle doit ses renaissances et son essor spectaculaire à l'incroyable résilience de ses habitants. Des images d'archives colorisées exceptionnelles permettent aujourd'hui de redonner vie à cette épopée unique.