Harry est un privé. Chargé d'enquêter sur la disparition d'une adolescente, il la retrouve totalement désemparée sur une île, véritable plaque tournante d'un trafic de drogue. Atteint dans ses convictions, Harry remet en question sa propre existence.
Le journaliste Steve O'Malley écrit la biographie d'un héros international mort dans sa voiture tombée du haut d'un pont. Sa veuve coopére à l'écriture du livre, et Steve apprend qu'elle aurait pu le prévenir de la présence du pont mais ne l'a pas fait...
L'histoire se base sur les faits réels survenus en Ouganda en juillet 1976. À la suite du détournement d'un avion d'Air France par des pirates de l'air acquis à la cause palestinienne vers l'aéroport d'Entebbe, un commando israélien est envoyé pour mettre fin à la prise d'otages. Ce raid militaire est officiellement connu sous le nom d’opération Tonnerre, opération Jonathan ou raid d'Entebbe.
Dans les années 1930, la guerre civile britannique débouche sur la mort du roi. Son successeur, Edward V, monte sur le trône d'Angleterre au détriment de son frère Richard, duc de Gloucester. Ce dernier, né difforme et bossu, ne manque néanmoins pas d'ambition et entreprend d'accéder à la couronne par tous les moyens possibles.
La très belle et très intelligente Reine Christine de Suède tombe éperdument amoureuse de Don Antonio de la Prada, l'envoyé du Roi d'Espagne. Devant le mécontentement de la cour et du peuple, elle abdique en faveur du Prince Charles Gustave pour pouvoir épouser celui qu'elle aime. Mais Magnus, son dernier amant, va tout faire pour briser son bonheur.
L'évocation de la vie de Richard Cromwell, qui, après l'exécution du roi Charles Ier, se fait nommer Lord Protecteur d'Angleterre.
Raid sur Entebbe (Raid on Entebe) est un téléfilm de guerre américain d'Irvin Kershner diffusé en 1976 sur NBC, basé sur le raid d'Entebbe. Une version longue sort le 9 janvier 1977 au cinéma dans divers pays. Cette version de l'opération Entebbe passe pour assez exacte[réf. nécessaire]. Elle nous montre la libération des otages détenus par des pirates de l'air travaillant pour le Front populaire de libération de la Palestine qui avaient réussi à s'embarquer à bord d'un avion d'Air France et à s'en rendre maîtres.