Amos Gitai revient dans les territoires occupés pour la première fois depuis son documentaire de 1982 FIELD DIARY. À L'OUEST DU JORDANIE décrit les efforts des citoyens, Israéliens et Palestiniens, qui tentent de surmonter les conséquences de l'occupation. Le film de Gitai montre les liens humains tissés par les militaires, les militants des droits humains, les journalistes, les mères en deuil et même les colons juifs. Face à l'échec de la politique à résoudre le problème de l'occupation, ces hommes et ces femmes se lèvent et agissent au nom de leur conscience civique. Cette énergie humaine est une proposition de changement attendue depuis longtemps.
Ari, a rendez-vous en pleine nuit dans un bar avec un ami en proie à des cauchemars récurrents, au cours desquels il se retrouve systématiquement pourchassé par une meute de 26 chiens. 26, exactement le nombre de chiens qu'il a dû tuer au cours de la guerre du Liban, au début des années 80. Le lendemain, Ari, pour la première fois, retrouve un souvenir de cette période de sa vie. Une image muette, lancinante : lui-même, jeune soldat, se baigne devant Beyrouth avec deux camarades. Il éprouve alors un besoin vital de découvrir la vérité à propos de cette fraction d'Histoire et de lui-même et décide, pour y parvenir, d'aller interviewer à travers le monde quelques-uns de ses anciens compagnons d'armes. Plus Ari s'enfoncera à l'intérieur de sa mémoire, plus les images oubliées referont surface.
Grâce à la contribution sans précédent des principaux négociateurs américains, ce film dévoile les coulisses de l’histoire des 25 dernières années de tractations diplomatiques autour du conflit israélo-palestinien. Et comment les États-Unis sont passés tout près de réaliser l’impossible : faire régner la paix au Moyen-Orient. Apprendre des erreurs passées est plus urgent que jamais.
Découvrez les méthodes insidieuses par lesquelles notre vie quotidienne est surveillée par l'État. Dans une course-poursuite captivante, Ronan Farrow parcourt le monde à la recherche de miettes de pain et révèle enfin un monde sombre de logiciels espions, de piratage informatique et de trafic d'informations privées, où les militants et les journalistes sont persécutés et où personne n'est protégé des regards vigilants et vicieux de l'autoritarisme.