Hate to Love: Nickelback

À Londres, durant l'automne 2003. Lisa, une étudiante américaine, rencontre l'anglais Matt lors d'un concert de Black Rebel Motorcycle Club à la Brixton Academy. C'est le coup de foudre immédiat, le point de départ d'une histoire d'amour sensuelle, charnelle. Une histoire passionnée qui durera un an et se conclura pourtant par une rupture sans appel.

Ben Harper revisite quelques uns des titres qui ont jalonné sa carrière, Excuse Me Mr, Flight For your Mind ,Walk Away. Il laisse même de la place au bassiste qui chante Them Changes. Les plages plus dynamiques alternent avec des séquences plus intimistes, guitare et Weissenborn électriques et acoustiques se succèdent, quelques titres en solo, et même une chanson a cappella, dans un théâtre antique c’est possible alors que quelques uns ne peuvent résister et s’y risquent, pour un très fort résultat.Le set se termine par un éblouissant solo de Weissenborn sur Gold to Me, et Diamonds on the inside termine le set. Mais ça n’est pas fini, le groupe revient pour un rappel généreux de quatre titres. Rarement voit-on des artistes d’une telle authenticité. La simplicité dont fait preuve Ben Harper sur la scène va de pair avec une énorme présence qui dégage une positivité bienveillante.

L'histoire inédite de l'homme et du musicien qui a eu un impact culturel immense en l'espace de quelques années seulement. Ayant obtenu les droits exclusifs d'archives personnelles inédites filmées par sa femme, ainsi que l'accès à ses amis les plus proches et à sa famille, le documentaire est décrit par les réalisateurs comme une émission spéciale qui définit la culture et humanise ODB en tant qu'homme, père et mari comme jamais auparavant. Il explore la façon dont Russell Tyrone Jones a créé Ol' Dirty Bastard, un alter ego super-héros du hip-hop qui l'a finalement consumé.

Un musicien se fait virer de son groupe de rock et trouve, dans la foulée, un emploi de prof de musique dans une école privée stricte. Là, devant un parterre de tubas, de clairons, de pianos et de harpes, il décide de revoir l'approche de la musique de ses élèves. Leur filant des Gibson en V, des claviers, des caisses claires et des charleys, il leur enseigne la musique des amplis. Le gros son des rockers. Et " leur donne le pouvoir de casser les règles ".

Un voyage musical dans les pas du chef d'orchestre toulousain Michel Brun, qui a consacré sa vie à Jean-Sébastien Bach, et cherche à diffuser son œuvre le plus largement possible. Ce documentaire l'a suivi avec l'Ensemble baroque de Toulouse qu'il dirige, dans un parcours rythmé par des rendez-vous avec un public varié, qui sont autant de moyens de décloisonner la musique classique pour la rendre accessible à tous.