A travers les témoignages de grands alpinistes himalayens, de journalistes, d'historiens sur la tentative d'ouvrir une nouvelle voie sur le Amnye Machen (Tibet), l'auteur tente de comprendre le désir d'aller "là-haut", malgré le risque de ne jamais revenir. Avec les témoignages de : Jean-Michel Asselin, Christine Janin, François Damilano, Pierre Mazeaud, Jean-Christophe Lafaille, Patrick Berhault, Reinhold Messner, Bertrand Roche dit Zébulon, Katia Buffetrille, Elizabeth Hawley, Junko Tabei, Sylvie Braud, Kurt Diemberger.
Banni durant 30 ans, ce documentaire décrit la culture de l'ancien royaume de Sikkim, situé entre le Tibet et le Népal, et rattaché à l'Inde en 1975.
L’ethnologue Marianne Chaud est accueillie par des familles zanskari. Elle apprend leur langue, adopte leurs règles et participe à leurs travaux, qu'ils soient agricoles ou domestiques. Observant et questionnant inlassablement, elle tisse des liens sentimentaux forts avec ces habitants et nous fait partager leur mode de vie.
Qu’est-ce qui pousse Katia Lafaille, veuve de Jean-Christophe Lafaille, alpiniste disparu tout près du sommet du Makalu, mère de deux enfant (7 et 15 ans) à s’engager dans l’un des treks les plus difficiles du monde ? C’est dans la Cordillère des Andes en Argentine que se niche le Mont Aconcagua surnommé le « Colosse de l’Amérique », et son sommet à 6962 m. « Des insomnies, des maux de têtes, du vent, du froid, des retours au camp de base avant de pouvoir repartir à l’assaut du point culminant ». Des 13 jours que dura l’expédition, le film restitue les prouesses physiques et psychologiques auxquels se livra cette jeune femme courageuse et téméraire. De son départ de Mendoza, ville située au pied de l’Aconcagua, jusqu’à son objectif, le sommet, Katia n’est pas seule. Habitants des vallées ou des villages de plus en plus hauts, ils sont les compagnons éphémères de son parcours. Une aventure humaine faite de rencontres avec des personnages hauts en couleurs.
Paul Bonhomme, guide de haute montagne et guide Allibert Trekking, aime les projets mêlant haute technicité et endurance. En 2018, il a imaginé enchaîner en alpinisme et ski de pente raide les quatre faces de l’aiguille Verte en moins de 24 heures, au départ de la vallée de Chamonix. Julien, passionné d’images de montagne, a filmé son aventure.
Art of Freedom _ H imalaya, est un documentaire sur l'alpinisme qui se déroule dans l'Everest et le Gasherbrum Ii. Il a été réalisé par Marek Kłosowicz en 2011 et produit par Instytut Adama Mickiewicza. On y retrouve les figures de l'alpinisme telles que Reinhold Messner, Wojciech 'Voytek' Kurtyka, Marian Bala, Krzysztof Wielicki, Andrzej Paczkowski, Mirosław Wiśniewski et des images d'archives avec notamment la légendaire Wanda Rutkiewicz entre autres...
Chaque réussite en escalade se fait au prix d'un risque potentiel, mais lorsque vous êtes un pionnier de l'escalade, poussé par l'inconnu et l'inattendu, vous êtes prêt à risquer tout ce qu'il faut pour avoir la chance de trouver la première ligne d'ascension parfaite. C'est une histoire d'exploration et de découverte, un voyage d'amitié et de solitude, une quête pour alimenter une passion obsessionnelle. Avec Paul Robinson, Jimmy Webb, Daniel Woods, Chris Sharma et Niky Ceria.
Que ressentent les sherpas lorsqu'ils entreprennent une expédition ? En les suivant, on découvre ici la face cachée de l'ascension. On les voit préparer l'itinéraire bien avant l'atterrissage des touristes occidentaux, aménager la cascade de glace de Khumbu et installer les camps de base. On les écoute aussi raconter leur histoire en attendant les himalayistes. Tourné dans des conditions extrêmes, ce documentaire est le fruit de cinq ans de collaboration entre deux équipes suisse et népalaise. La première ayant déclaré forfait à 6 000 m d'altitude, ce sont les cameramen-sherpas qui ont terminé le documentaire à plus de 7 600 m, là où le manque d'oxygène met en danger la vie humaine.
En 1980, les alpinistes Patrick Berhault et Yannick Seigneur s'attaquent à un pilier invaincu du Nanga Parbat, le Rupal au Pakistan qui affiche un dénivelé de 4500 mètres, soit quatre fois la Face Nord des Grandes Jorasses. Accompagnés d'une équipe internationale d'alpinistes, les deux grimpeurs ont l'intention de parvenir au sommet en cordée légère, sans oxygène et sans porteur d'altitude. Pas assez acclimatés à l'altitude, la première tentative de Patrick Berhault et Yannick Seigneur se solde par un échec, Patrick Berhault est épuisé à la limite de l'oedème pulmonaire. Cinq tentatives plus tard, Yannick Seigneur et les membres de l'expédition abandonnent contrainte par le mauvais temps et les avalanches se repliant une nouvelle fois sans avoir atteint le sommet. L'équipe chamoniarde a cependant tracé dans le pilier sud-ouest du Dhaulagiri une voie qui marquera, en dépit de ce semi-échec, l'histoire de l'himalayanisme.
Le 15 mai 2006, Mark Inglis, double amputé, atteint le sommet de l'Everest. Ce fut une réussite remarquable et Inglis fut salué tant par la presse que par le public. Mais quelques jours plus tard seulement, il fut plongé dans une tempête de polémique lorsqu'on apprit qu'il avait dépassé un grimpeur incapable, l'Anglais David Sharp, le laissant dans une fin solitaire dans la zone de la mort.